La rentrée
Datte: 14/08/2020,
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Auteur: Ellian, Source: Revebebe
... minutes maintenant qu’elle tient le rythme, mais toujours rien. Elle relève la tête, libère le gland humide et exécute quelques mouvements buccaux pour décontracter ses masséters. Elle semble très déçue.
— Merci, Sophie ; belle endurance. Vous allez toutes pouvoir essayer à votre tour. Mais avant, dites-moi ce qu’il aurait fallu faire pour arriver à un meilleur résultat ?
— Il faut lécher !
— Il faut faire des pauses !
— Il faut utiliser sa main !
— Bien, bien, bien… Pour commencer, il est primordial de varier le plus possible les techniques, les rythmes. Branler en même temps, très bien. Accompagnez le mouvement de votre bouche avec votre main, ou branlez à l’inverse de l’avancée de votre bouche. Tournez votre main autour de la verge, en montant ou descendant. Pour augmenter votre endurance, respectez vos muscles buccaux. Faites des pauses, en gardant le sexe en main ; vous pouvez aussi laisser vos lèvres humides juste sur le haut du gland en continuant d’astiquer. Léchez la verge de haut en bas, les couilles, donnez des petits coups de langue sur la base du gland. Mais pensez à toujours garder votre langue bien humide ; rentrez-la pour mieux la ressortir. Faites parcourir vos lèvres en travers sur le sexe, de haut en bas, puis de bas en haut. Mouillez encore et toujours. Sachez que les simulateurs mis à votre disposition sont réglables sur plusieurs niveaux de difficulté. Ils sont aujourd’hui réglés au niveau 1. Le niveau maximum étant le niveau 10, je vous laisse ...
... imaginer votre marge de progression, mais vous y arriverez avec de l’entraînement. Le niveau 0 correspond à un éjaculateur précoce : il nous servira pour un autre cours. Allez, au travail Mesdemoiselles !
Je prends le sexe en main ; la texture est impressionnante, on croirait une vraie peau. Elle bouge naturellement pendant que je masturbe énergiquement. Je commence par lécher la pointe, un peu de salive dégouline le long du bâton. Je la récupère d’un petit coup de langue. Ma bouche est bien accueillante, c’est parti. J’engloutis tout ce que je peux et remonte en serrant fort mes lèvres. Je tourne la langue tout autour de la partie la plus sensible en la gardant bien au chaud dans ma bouche.
Je prends les couilles à pleine main et les malaxe, puis je coordonne ma main et mes lèvres et j’entame une bonne pipe énergique. La queue d’hier soir m’envahit l’esprit, je sens ma bouche aussi bien défoncée que ma chatte hier, les sensations sont très proches.« Si seulement je pouvais être prise aussi de l’autre côté… Je veux que quelqu’un me baise, je veux que cette bite me baise. Je la veux maintenant, partout ! Je veux jouir ! Défoncez-moi, enculez-moi ! » Le liquide se déverse tout au fond de ma gorge ; le goût est très anisé. Je me recule, surprise. Les derniers jets sont projetés sur mon visage. Je lèche les gouttes à portée de langue ; c’est bon, et c’est bien de l’anis.
— Félicitations, Ève. Tu peux aller te nettoyer, le cours est fini pour toi. Les autres, redoublez ...