1. La fille de l'agence immobilière


    Datte: 20/01/2018, Catégories: Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... pour chercher sa réponse dans la pièce vide où l’on se trouvait.
    
    Puis, sans me regarder, elle dit :
    
    « L’indifférence me choque. »
    
    La fenêtre dans son dos était ouverte. Elle dominait un petit jardin dans lequel des dizaines d’oiseaux sifflaient à tue-tête. De temps en temps, on entendait une voiture passer dans une rue proche, invisible. Ou un tracteur. Et un chien qui aboyait, au loin. La cloche de l’église qui donna un coup.
    
    J’attendis que Virginie me laisse défaire le bouton du bas de sa robe pour lui dire :
    
    « Des clients vous font vraiment des câlins ? »
    
    « Oui, dit-elle en regardant ma main qui écartait les pans de sa robe, en haut de ses cuisses. »
    
    Sa culotte était assortie à son soutif. Noire en dentelle. Tendue sur un pubis qui me sembla complètement lisse.
    
    Je continuai :
    
    « Et vous vous laissez faire à chaque fois ? »
    
    « Oui. »
    
    « Vraiment à chaque fois ? »
    
    « Ça n’arrive pas si souvent, dit-elle en regardant mes doigts défaire le bouton du dessus. Ça fait du bien. »
    
    Je fis sauter le troisième bouton, puis la ceinture fit obstacle au suivant. Alors je fis redescendre mes doigts vers sa culotte.
    
    C’est elle qui défit la ceinture, tout en me regardant et en répétant :
    
    « Ça fait du bien. »
    
    Elle dénoua la ceinture, tandis que je touchais les lèvres de sa chatte au travers de sa culotte semi-transparente. Ensuite, elle s’en prit aux boutons suivants, jusqu’en haut. Jusqu’à ce que les pans de sa robe s’ouvrent complètement. Et là, ...
    ... je ne pus pas m’empêcher de porter une main à son sein gauche que je me mis à tripoter.
    
    On échangea un baiser sur la bouche, puis elle répéta encore une fois :
    
    « Ça fait du bien. »
    
    Un peu plus tard, elle me suça la queue.
    
    Elle avait ôté sa robe pour la poser au sol, mais elle avait conservé ses sous-vêtements. Seule une bretelle de soutif pendait sur son bras gauche. Ça me convenait. Elle avait d’assez grosses lèvres et elle suçait divinement bien. Ma queue était raide comme un bout de bois et mon gland avait le volume d’un abricot.
    
    J’ai touché le haut de son crâne en disant :
    
    « Allez-y doucement. »
    
    « Pourquoi ? dit-elle. Vous allez vite gicler ? »
    
    « C’est possible. »
    
    Et elle s’est remise à sucer, plus doucement, sans pincer mon gland avec ses dents.
    
    De temps en temps, elle lâchait tout et me regardait.
    
    De temps en temps, je me penchais en avant pour lui tripoter un nichon.
    
    De temps en temps, j’avais un mouvement de recul à cause du sperme qui montait dans ma queue. Une petite goutte perlait alors au bout de mon gland, et Virginie la cueillait sur le bout de sa langue. Elle l’avalait, puis elle se remettait à me sucer, délicatement.
    
    A un moment donné, je lui ai dit :
    
    « Enlevez votre culotte et prenez la position que vous voulez. »
    
    Elle s’est exécutée aussitôt. Sa chatte était effectivement lisse et elle avait une belle paire de fesses bien rondes. Elle a jeté sa culotte dans la pièce vide, puis elle s’est mise à quatre pattes sur ...