30 janvier 2048
Datte: 13/08/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
uniforme,
Oral
pénétratio,
fdanus,
aventure,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... tour du spa ; en passant à côté de moi, la jeune fille a un sourire plein de sous-entendus.
— Je vous présente Agnete et Dimitri, de bons éléments sur le terrain.
— Allez, on s’est assez amusé. Au petit déj’ : on a de la route.
Une table unique a été installée dans la salle de restaurant. Nous nous installons dans une ambiance plus tranquille. Je me retrouve en face d’Agnete et de Dimitri.
— Vous les emmenez où, Jean-Michel ?
— À la Teste-de-Buch : c’est la fosse de 30 mètres la plus proche ; certains n’ont pas les habilitations pour les grandes profondeurs. On reste une semaine, et on va crapahuter aussi. Il faudrait que vous veniez avec nous un jour.
— Il faudrait pour cela que je perde quelques kilogrammes, sinon je vais pleurer tout le long.
— Vous êtes en forme pour un journaliste.
La voix d’Agnete n’est pas en adéquation avec son physique : elle est rocailleuse avec un accent indéfinissable.
— Vous parlez russe avec un accent que je ne connais pas. D’où venez-vous ?
— Je suis finnoise, m’explique-t-elle, surprise.
Elle me regarde, et je sens soudain un pied nu qui glisse entre mes jambes, écarte mon peignoir et réveille mon sexe.
Je la regarde : elle bavarde en russe avec Dimitri, lui expliquant ce qu’elle effectue. Il pose un baiser sur sa joue et chuchote ; les yeux d’Agnete brillent.
Son orteil passe sur mes bourses et me force à écarter les jambes. Une fois ma virilité libérée de toute entrave vestimentaire, le deuxième pied rejoint le ...
... premier, encadre mon sexe et le caresse. Je n’ose la regarder ; je me concentre sur mon café. Elle accélère le mouvement. Malgré toute ma bonne volonté, je ne peux résister et ma semence se répand sur les pieds de mon bourreau.
— Allez, on se presse ! Rendez-vous à 8:00 dans la cour.
Tous s’égaillent et rapportent leur vaisselle sur le chariot de lavage. Je remets un semblant d’ordre dans ma tenue et suis le mouvement. Dans le couloir qui mène aux chambres, Agnete se place à côté de moi et me chuchote en russe :
— Tu aurais dû me prendre tout à l’heure.
Elle me dépasse, pose un index sur sa bouche et me lance un baiser.
Arrivé dans ma chambre, je me jette sous la douche la plus froide possible pour me calmer. Assis à mon bureau, je mets de l’ordre dans mes notes quand le carillon de l’entrée sonne. La porte s’ouvre et Agnete jette son paquetage au sol.
— Nous disposons de 38 minutes ; il ne faut pas traîner.
Joignant la parole aux actes, elle déboucle son ceinturon et déboutonne sa vareuse en se dirigeant vers la chambre. Elle sème sur son chemin ses vêtements. Assise sur le bord du lit, torse nu, elle délace ses Rangers. Je suis éberlué par le culot de cette femme, mais après l’instant déstabilisant et délicieux que j’ai passé tout à l’heure, je me dois de lui rendre la monnaie de sa pièce. Je retire mes vêtements.
Elle s’est couchée, nue, les jambes écartées, impudique. Ses lèvres rosées, ouvertes, sont luisantes de désir. J’insère ma langue au plus ...