1. La caméra espion 7


    Datte: 13/08/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... heureux de m’exhiber comme sa chose. J’étais follement excitée et j’ai mis quelques instants à me rajuster simplement pour que les deux gars matent mon sein. Mais je crois que s’il l’avait voulu, je me serais laissée baiser sur la table du café. »
    
    A cet instant du récit, je la sens qui attends une réponse, une réaction de ma part. Pour lui avouer mon état d’esprit, j’ouvre mon pantalon et libère ma bite de mon slip. Je lui prends la main et je l’invite à me branler. Un léger sourire anime son visage. Elle commence un lente masturbation, consciente qu’elle doit faire durer.
    
    « Il m’a regardée droit dans les yeux avec un sourire triomphant. Il me tenait à nouveau et il me le fit savoir sans attendre.
    
    - Tu es une vraie salope, ma chérie. Tu ne peux pas me résister. Tu vois les deux gars à côtés, si je leur demande de te baiser, tu ne saurais résister et refuser.
    
    J’étais morte de honte et en même temps de colère. Je m’en voulais du lui avoir cédé et je savais qu’il avait raison. Petit à petit je reprenais mes esprits et aussitôt je pensais à toi. Le salaud a dû lire dans ma pensée car il me dit :
    
    - Je sais que tu ne diras rien à ton cocu. Tu as trop envie de moi.
    
    Cette arrogance me dégoûtait. Il parlait avec cette assurance que je lui connaissais que trop. Il parlait de moi comme de sa chose. Mon chéri, crois-moi, j’aurais tant voulu m’échapper, le fuir, mais cette force qui me retenait, je savais trop bien qu’elle était la plus forte. J’étais toute humide ...
    ... dans ma petite culotte, mes tempes bourdonnaient et mes jambes tremblaient. Si bien que je n’osais pas me lever pour partir. Je me souviens que je portais une robe légère mais très sage. Je m’étais douté du piège. Je sentais ma mouille glisser entre mes cuisses et j’imaginais que ma robe devait être tachée. Si je me levais pour partir, toute la salle pourrait s’apercevoir de mon trouble. J’étais morte de honte. Philippe qui me regardait me décomposer, souriait d’un air plein de mépris et de satisfaction.
    
    - Je crois que tu peux partir rejoindre ton minus. Je te ferai signe quand j’aurai envie de te sauter. Et même plus, sois rassurée, finit-il par dire en éclatant de rire, je saurais satisfaire tous tes vices, salope.
    
    Ce type est diabolique mon chéri. J’étais complètement anéantie et sans force pour réagir. Je finis par me lever difficilement sous le regard vicieux des deux autres types à qui Philippe envoyait un signe de la main que je ne compris pas sur le moment. Tu ne peux pas savoir la honte !
    
    J’ai traversé le bar en tremblant, au bord des larmes. Ce n’est qu’une fois sur le trottoir que j’ai pu me ressaisir. Je savais déjà que je ne te dirais rien, par peur de te perdre certainement, mais aussi avec l’envie qui me tenaillait de m’abandonner, me soumettre à ce pervers. »
    
    Un lourd silence suit ses derniers mots. Je lui tiens la main, assommé. Ces mots qu’elle me vomit me font bander. Je suis sur le point de jouir. Je ne trouve rien à dire sinon, dans un murmure ...