La caméra espion 7
Datte: 13/08/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Arsenne, Source: Hds
Toujours dans l’idée de temporiser pour distiller les informations, je me déshabille et vais prendre une douche. Quand je reviens dans la salle à manger, Chantal est en cuisine à préparer le dîner. La table est mise. Je la rejoins et viens me coller contre elle dans son dos la serrant contre moi en signe de tendresse. Je sens son corps se détendre et se lover langoureusement contre le mien. Je passe mes mains sous ses bras et mes saisis de ses seins que je commence à caresser doucement. Je me rends compte qu’elle est encore habitée de petits sanglots. Je l’embrasse dans le cou, elle bascule sa tête en arrière et la pose sur mon épaule. Je réalise alors combien je l’aime et combien je tiens à elle.
- Je t’aime, tu sais, lui dis-je dans un murmure à son oreille. Je suis sûr que tu n’as rien fait de mal. Sinon tu me le dirais.
Elle reste silencieuse, mais à ces mots, elle se crispe légèrement et reste silencieuse. J’insiste pour accentuer son embarras. Elle est prête à craquer. Je frotte ma joue contre la sienne dans un geste de tendresse et d’amour.
- Tu me le dirais, hein ? Tu me le dirais si tu étais encore attirée par ce salaud. Si tu avait encore envie de sa grosse queue.
A ce moment elle doit bien sentir ma bite dressée contre ses fesses. Malgré tout elle se contrôle. Elle a compris que je ne lâcherai pas, alors dans un souffle à peine audible, elle se dit :
- Je ne sais pas !
Sa réponse me fait l’effet d’un coup de poignard. J’ai du mal à contenir ma ...
... réaction. En même temps, en plus de l’excitation qui envahit tout mon corps, je suis rassuré par sa franchise. Visiblement elle a fauté mais elle ne veut plus être prise en train de me mentir. Je feins de ne pas comprendre. Je reste silencieux un moment. Elle me murmure timidement :
- Le dîner est prêt, passons à table, tu veux bien ?
Je sens qu’il faut faire une pause. Elle a plongé pour se délivrer et même si je ne dois pas lui donner la chance de se ressaisir, je choisis de temporiser.
Le dîner se passe calmement. A plusieurs occasions, je la sens tendue, prête à sangloter. Une fois le repas fini, la table desservie, nous passons au salon. Assis sur le divan, elle se love contre moi, chaude et soumise. C’est elle qui aborde le sujet.
- Je voudrais soulager ma conscience. Je t’aime, tu sais et j’ai surtout peur de te perdre. Je veux tout, mais tout t’avouer en priant que tu comprennes et que tu me restes.
- Ma chérie, tu as raison. Je veux tout savoir, tu dois tout avouer. Je ne pourrais jamais te pardonner à nouveau le mensonge, la trahison.
Elle pose sa tête sur mon épaule, rassemble ses jambes sur le divan. Elle pose une main sur ma cuisse. Elle me raconte.
« Au café, il a été très correct au début. Je ne lui ai pas caché que je ne voulais pas aller plus loin que boire un verre et qu’après il ne devra plus chercher à me parler. C’est alors qu’il a changé de ton. Il s’est penché au dessus de la table m’a saisie à la nuque, m’a attirée à lui et a voulu ...