Jeunesse infernale (2)
Datte: 12/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... cependant mes instructions avant de les porter.
Après 4 jours, je reçus enfin un message.
— De retour de mon voyage, comment vas-tu ?
— Bonjour Monsieur, je vais bien merci, et vous ?
— Ce fut un voyage productif, je dirais. Parle-moi de tes progrès ; as-tu utilisé le plug ?
— Souvent Monsieur, je peux le rentrer facilement maintenant et je le garde, je m’y fais.
— Je te félicite et t’invite à continuer ; as-tu essayé de te caresser en faisant aller et venir le plug dans tes fesses ?
— Non Monsieur ; j’attendais vos instructions.
— Tu le feras lorsque les circonstances te le permettront.
Il faisait bien évidemment référence à la présence de mon mari.
Je commençais mon travail plus tard que mon mari et le lendemain, avant de me doucher, je décidais de céder à son invitation ; les yeux clos, je commençais à me caresser en pensant à ses mains qui me « fouillaient » et, bien lubrifié dans ma chatte je faisais pénétrer le plug ; je retins, la partie la plus large à l’entrée de mon anus pour le détendre.
Je me caressais de plus en plus vite en faisant aller et venir le plug lorsque je ressentis un orgasme différent, plus violent me parcourir. La sodomie avait peut-être du bon après tout !
Les jours passèrent émaillés de messages et de mails ; nous devions nous voir un jeudi trois jours après le départ de mon mari pour l’Asie.
Le dimanche, il m’indiqua que je devais commencer à me préparer. Mon mari partait lundi.
— Tu te laveras la chatte ...
... dimanche soir.
Le lundi matin, maintenant seule, je lui indiquais que j’étais prête à recevoir ses instructions.
— A partir de maintenant, tu porteras une culotte de coton jour et nuit jusqu’à jeudi.
— La même ?
— La même oui ; tu ne te laveras plus la chatte et tu te caresseras au moins une fois par jour ; enfin tu t’essuieras légèrement.
Partagée entre l’excitation de rencontrer un homme qui faisait plus qu’accepter mon odeur et la honte que me procurait les ordres qu’il m’avait donnés, je fis une tentative pour « adoucir » ses instructions.
— Je dois aller à ma séance de sport mardi matin où je vais sans doute beaucoup transpirer.
Je n’osais pas en dire plus, il comprendra.
— Ca ne change rien à mes instructions !
J’étais fixée !
Mardi matin, dans mon club, je décidais de jouer le jeu et entre vélo et course sur le tapis roulant, je sentais comme toujours la transpiration envahir mon sexe et une fois dans le vestiaire, je retirai mes sous-vêtements humides que je dissimulais avant de m’enfermer dans une cabine de douche pour me laver avec un gant.
Sentir ma culotte humide lorsque je me rhabillais me procura une étrange impression, nouvelle en tout cas moi qui avait fait tant d’efforts jusqu’à présent pour masquer mon odeur.
Lorsque j’allais uriner, je prenais soin de tamponner sans excès mon sexe qui dégageait déjà un parfum auquel je ne pouvais échapper.
Lorsque je sonnai à sa porte le jeudi soir, j’étais à la fois morte de honte à ...