Jeunesse infernale (2)
Datte: 12/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... m’empêcher d’approcher mon sexe de sa bouche et en lents mouvements me frotter sur ses lèvres ; je sentis alors sa bouche s’ouvrir comme pour engloutir ma chatte et par petites touches, il commença à me lécher patiemment. Il passait sa langue dans les plis et elle commença un doux ballet sur mon clito ; trente ans, j’avais trente ans et enfin, un homme prenait du plaisir à plonger sa bouche sans retenue dans mon sexe !
— Tu n’as pas encore droit au plaisir.
— Maintenant, viens à quatre pattes t’allonger sur mes cuisses.
Je sentis sa main caresser mes fesses, ses doigts remonter de mon vagin à mon anus, se retirer et soudain s’abattre sur mes fesses ; douleur vive et envahissante qui se répandait sur mon cul qu’il fessait posément, longuement. Après plusieurs minutes, les larmes aux yeux, je sentais une chaleur se répandre sur mon cul après qu’il eut arrêté ; il caressait mes globes sensibles. Je ne bougeais pas, j’attendais muette la suite.
Nouvelle fessée, sensation inexplicable de douleur qui m’irradiait et d’excitation qui me nouait le ventre. J’étais vidée lorsqu’il cessa, vidée, mais le bassin ondulant, offerte, prête à tout subir.
Je quittais le « confort » de ses cuisses pour me retrouver à quatre pattes ; mes petits seins se ballottaient. Il les ficela l’un après l’autre fermement et je les sentais gonfler sous l’effet ; position debout. Il faisait rouler mes tétons dans ses doigts jusqu’à ce qu’ils deviennent durs et sensibles, c’est alors qu’il posa ...
... une paire de pinces sur chacun ; sa main gauche les étirait tandis que de sa main droite, il caressait ma chatte. Aux mouvements de ses doigts, je sentais combien il connaissait le corps d’une femme ; je me laissais aller à ce mélange inconnu où plaisir et souffrance ne cohabitaient que pour amplifier mon plaisir.
J’étais debout face à lui et je m’enhardis à déboutonner sa chemise ; il ne repoussa pas mon geste ; il l’accompagna même en se levant ; sans un mot, sans un ordre, je le déshabillais lentement. Lorsque je retirai son caleçon, son sexe était dressé, le gland déjà humide. Je n’osais pas aller plus loin sans qu’il me l’ordonne.
Il détacha les liens qui me ficelaient les seins et me libéra des pinces ; très vive douleur qui disparut sous l’effet de sa bouche qui se promena sur mes tétons sensibles tandis que sa caresse de mon sexe devenait plus insistante, plus précise ; je jouis violemment debout et je ne pus m’empêcher de m’écrouler à genoux. J’enserrai ses jambes comme pour le remercier, il caressait mes cheveux. J’avais mon visage dans son pubis et je pouvais sentir sa bite dans mon cou.
— Tu es une très bonne débutante et ton odeur est enivrante.
— Faites ce que vous voulez de moi ! m’entendis-je dire.
— Pour ta première séance, je ne t’infligerai cependant pas de punitions aussi sévères que tu pourrais en avoir lorsque tu seras aguerrie.
J’y étais prête, je le croyais, mais j’avais confiance en son jugement ; il prit une brosse et un martinet et ...