1. Adrien, emporté par la vague ! (2)


    Datte: 15/04/2018, Catégories: Transexuels Auteur: pauline69, Source: Xstory

    ... carton et effectivement, il y a de nombreux produits de maquillage, démaquillage, un épilateur, etc. Anaëlle me rejoint :
    
    — Ouah ! Eh bien, tu es gâté, y en a pour une fortune, on fait le tri ?
    
    — Si tu veux.
    
    — Ca pour toi, ça, ça ne correspond pas à ta peau, alors de côté, pour moi ?
    
    — Si tu veux, OK, pas de soucis.
    
    Je lui explique mon rendez-vous du lendemain. Elle propose de m’aider à me maquiller quand je serai habillée.
    
    — Tu veux que je t’aide à choisir tes vêtements ?
    
    — Non, c’est choisi, robe noire, guêpières, escarpins, la totale quoi ! Quitte à me travestir, je vais essayer à fond, au pire, je serai ridicule.
    
    — Y a pas de raison, mais vas-y, t’as raison, très bien.
    
    Entre-temps, j’ai enlevé mon pantalon.
    
    — Elle te va bien ma robe.
    
    — Oui, elle est sympa et confortable.
    
    — On va manger chez moi, j’ai plein de restes ?
    
    — Si tu veux.
    
    Je me pose même plus la question de me changer, et nous voilà dans les couloirs pour rejoindre l’appartement d’Anaëlle.
    
    Je m’effondre dans le canapé pendant qu’elle va se rafraîchir dans la salle de bain, elle revient en nuisette transparente. Elle est magnifique, je dirai même vulgairement : "bandante".
    
    — T’as pris le métro ces temps-ci, tu as perdu ton ticket duveteux.
    
    — Oui, j’ai tout rasé, ...
    ... pourquoi ? Tu veux lécher pour sentir comme c’est doux ?
    
    Quelle invitation, je me lève et on devine clairement mon sexe en érection sous ma robe.
    
    — Eh bien, cette robe, elle est vraiment mal taillée, il faut pas avoir de seins, mais pas avoir de pénis en érection non plus !
    
    On rigole et se rapproche, ma main va directement sur son pubis, je le caresse, c’est vrai qu’il est très doux, Anaëlle réagit aussitôt, ses mains soulèvent ma robe, elle ne m’a même pas caressé 2 minutes les bourses à travers mon collant que j’éjacule dans mon string dentelle. Elle me sourit. Je la pousse sur son canapé, lui écarte les cuisses en les caressant et plonge ma tête dans son entrejambe. Je lui lèche lentement, mais fortement son pubis, un de mes doigts part chatouiller ses lèvres déjà humides. J’écarte encore plus ses jambes afin que ma langue puisse remplacer mon doigt et faire le tour et les détours de son orifice. Le bout de ma langue "titille" ses délicieux petits contreforts de son sexe puis se lance dans l’exploration de sa grotte. Anaëlle crie littéralement, j’en suis presque gêné. Je continue jusqu’au moment où elle me fait comprendre de m’arrêter. Ma tête reste posée sur son pubis. Quelques minutes après, en refermant ses cuisses, elle me dit :
    
    — Restes de bourguignons ou restes de saumon ? 
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