1. Adrien, emporté par la vague ! (2)


    Datte: 15/04/2018, Catégories: Transexuels Auteur: pauline69, Source: Xstory

    ... Quand tu mettras un body ou un soutien-gorge, un caraco qui a des bretelles, il faut regarder si elles sont réglables et les régler.
    
    Elle passe dans mon dos, et m’explique les passages des élastiques, elle les règle, puis me demande de me regarder le dos dans le miroir afin de voir comme les bretelles sont plaquées sur les épaules et le dos.
    
    — OK, j’ai vu, on retourne bosser.
    
    — Dis donc, t’y prends goût au style féminin pour essayer des mi-bas, les mocassins, et le body n’était pas obligatoire.
    
    — J’avoue que ça m’amuse.
    
    — C’est sans doute plus que ça, je ne connais pas beaucoup de mecs qui iraient aussi loin, juste pour "s’adapter".
    
    Dans la journée, j’en profite pour ramener à Mme DUVERT les 2 perruques que je ne voulais pas.
    
    — Bon choix Adrien, j’espère qu’Adrienne viendra me montrer sa nouvelle coiffure un de ces jours.
    
    — Promis, mais hors boulot, je ne veux pas travailler en Adrienne.
    
    — Pour l’instant !
    
    — On verra.
    
    — Je vais faire le tri de ma défunte Sissi, je te passerai des choses si tu veux.
    
    — Je ne veux pas être une Sissi.
    
    — T’es bien partie pour Adrien. Lâche prise, fais-toi plaisir, la vie est trop courte pour rester frustré.
    
    — On verra.
    
    — Je ne suis pas là demain, mais viens vendredi, je t’aurai fait un petit colis.
    
    Toutes mes collègues ont remarqué mes bretelles de body sous ma chemise, moi, qui croyais cela discret.
    
    Le soir est calme, pas de visite d’Anaëlle, cela me fait presque un manque. Je choisis mes ...
    ... fringues, jeudi, encore en pantalon, mais cette fois-ci, je reste tout masculin si ce n’est d’autres mi-bas à essayer. Agathe me fait la réflexion que j’aurai plus de collant et bas à essayer que de mi-bas et donc, devrais répartir les essais.
    
    Jeudi soir arrive, Anaëlle arrive en coup de vent comme elle dit.
    
    — Tiens ! Cadeau !
    
    Elle me tend une robe chemise gris anthracite très jolie, mais bon.
    
    — Je l’ai achetée l’an dernier et je la mets jamais; je trouve que la coupe en haut pour la poitrine est mal faite, donc toi, tu n’auras pas ce souci.
    
    — Eh bien merci, je préparai mes fringues pour demain, alors, pourquoi pas celle-là.
    
    Je lui fais un bisou en la prenant dans mes bras, enlacés, elle sent mon début d’érection.
    
    — Je suis pressée, mais je ne vais pas te laisser comme cela, tu serais capable à mon départ de te branler en pensant à moi.
    
    — C’est possible, oui.
    
    — Je vais te sucer vite fait, excuse-moi, mais c’est mieux que rien, non ?
    
    Je n’ai pas encore répondu qu’elle se trouvait déjà à genoux devant moi, et avait sorti mon sexe de son étui, je ne pouvais que constater que mon pénis disparaissait entier dans sa bouche. Effectivement, elle est pressée, cela se voit, elle suce goulûment, bruyamment, énergiquement, cela devient presque déplaisant. Elle le ressent et s’adoucit, elle ressort mon pénis de sa bouche pour venir me lécher les bourses, comme elles sont fraîchement rasées, elles sont très sensibles, agréablement très sensibles. Maîtrisant ...
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