Je ne pouvais pas m'y attendre !
Datte: 10/08/2020,
Catégories:
fhh,
hbi,
cocus,
hsoumis,
hdomine,
préservati,
fsodo,
hsodo,
confession,
portrait,
Auteur: Jacherino, Source: Revebebe
... a ouvert les lèvres et je suis la progression de cette belle queue dans son corps.
— Viens ! me dit-elle.
Je m’approche, m’allonge près d’elle et elle me prend la main.
— Regarde-moi ! J’ai envie de lui, souvent. Je voulais que tu sois là, que tu saches et que ça se passe bien !
— Je suis là ! Occupe-toi de lui et vis cet instant aussi bien que tous ceux qu’on a vécus ensemble ou que tu as vécus avec lui.
Son regard est dans le vague et je la sens submergée de bonheur, de désir et de plaisir. Elle me serre la main et ne la lâche pas. Elle fait l’amour avec lui, les yeux dans les yeux, bouches en ventouse, les caresses se faisant douces, brûlantes, félines selon le plaisir de l’un et l’autre dans la pénétration. Je sais qu’elle jouit, en continu, depuis qu’elle me tient la main. Son regard est extatique, son ventre absorbe et sa cambrure appelle le martèlement de Philippe dans le fond de son vagin. Et il y va, le bougre !
Mais il veut assouvir sa domination et la fait se retourner à quatre pattes. Il glisse sa queue entre les fesses, caresse le cul de ma femme, puis opte pour une levrette classique.
— Tu me diras quand tu en as envie, Hérine !
— Oui, Philippe.
Et il reprend sa pénétration, son mouvement de métronome et les coups de boutoir que je sais faire mal à mon épouse, mais qu’elle adore. Je sais ce qu’il a voulu dire : « Dis-moi quand tu auras envie que je te sodomise. »
Il lui tient les hanches ; elle, me tient la main et me regarde pour mieux ...
... me montrer l’intensité du plaisir et des émotions qu’elle éprouve.
— Encule-moi ! Fort !
Sachant comment elle s’ouvre quand elle est prête, je ne m’étonne pas de le voir sortir de son vagin et, dans le même élan, la sodomiser d’un trait, alors qu’elle lâche un « oui » de plaisir.
— Oh, tu aimes ça, ma salope !
— Oui, lui répond-elle.
— Regarde, Jacques, elle me le réclame à chaque fois.
Je les laisse à leur corps-à-corps sauvage, tant les coups qu’il lui donne sont violents. Il la fesse en même temps et je vois à son regard qu’elle jouit encore et encore. Elle me montre qu’elle est sa salope et qu’elle aime cela, comme elle me le dit si souvent. Il l’encule encore et encore, et elle, elle le réclame de tout son corps, de ses mots, de ses invectives.
Puis il ressort, essuie son sexe avec une serviette et replonge dans sa chatte.
Il la brutalise, elle gémit, il l’écrase, elle réclame, il la pilonne, elle se cambre pour mieux éprouver la douleur et le plaisir. Et il jouit, comme avec moi, dans un rugissement. S’effondre, comme avec moi, sur elle.
Il leur faut quelques minutes pour récupérer, pendant qu’il l’embrasse dans le cou, sur le dos.
Ils se détachent et Hérine s’allonge pour reprendre ses esprits. Je vois qu’elle est repue de plaisir et de jouissance, mais je ne peux m’empêcher de venir m’abreuver de leur jouissance. Je me glisse entre ses cuisses et viens me délecter en lui léchant et nettoyant la chatte, du goût si particulier du mélange de sa ...