1. COLLECTION LESBIENNES. Un regard a suffi. (1/1)


    Datte: 10/08/2020, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... petits problèmes féminins avec maladie vénérienne.
    
    À 14 heures je monte au quatrième comme le dit les boîtes aux lettres, sur le palier deux valises.
    
    Je sonne, elle ouvre et nous tombons dans les bras l’une l’autre.
    
    • Vas-tu en voyage ?
    
    • Non, c’est mon mec, il va rentrer et savoir qu’il n’a plus sa place ici, tu le remplaces, viens dans ma chambre, à partir de maintenant c’est la tienne.
    
    Elle commande, j’exécute, elle me déshabille et j’ouvre son peignoir, ses seins sont à moi les miens à elle, sa caresse est douce et je sens que je coule le long de mes jambes, qui m’auraient dit que j’étais capable de la prendre dans mes bras pour la faire chuter sur ce que je présume déjà être définitivement notre lit.
    
    Je sens la jouissance monter dans mon corps simplement en nous caressant sans aucune pénétration de nos mains, juste des caresses superficielles et nos bouches soudées, nos langues tourbillonnantes à l’intérieur.
    
    • Nous aurons tout le temps d’aller plus loin dans la découverte de nos corps Jennifer, voyons ce qu’il y a dans ton sac à main, tient une petite culotte, elle est toute mouillée.
    
    Je sais ce que tu penses, depuis que tu l’as enlevée, elle aurait dû sécher, je suis curieuse et j’ai voulu connaître celle qui avait miraculeusement fait battre mon cœur par une simple rose.
    
    • C’est vrai quand je suis descendu faire pipi, j’espérais secrètement que tu me rejoindrais et j’étais trempée, je l’ai mis dans mon sac et tu m’as rejointe pour mon plus ...
    ... grand bonheur, pourquoi est-elle encore trempée ?
    
    • Je l’ai pris dans mes mains et je l’ai sucé toute la nuit, j’ai regretté qu’elle soit si petite, car j’ai eu peu le temps de sentir ton goût, c’est loin d’être grave, j’ai l’originale à ma disposition, je vais pouvoir la faire couler sans interruption pendant les prochaines heures, jours, mois, années.
    
    • Et ton mari, tu le vires, mais tu vas être obligée de partir.
    
    • N’est aucune crainte, je suis contre le mariage, je suis dans l’appartement que mes parents m’ont donné quand mon père est parti sur la côte méditerranée avec maman pour sa retraite, tu es chez toi après que tu auras fait le geste nécessaire à notre bonheur.
    
    • Lequel ?
    
    • J’ai pris ton téléphone, mais il est bloqué par le code de sécurité, prend le, appelle ton mari et dit lui que tout est fini, tu as trouvé l’amour de ta vie et que tu divorces à tes tords, j’ai de quoi nous faire vivre en restant couché à faire l’amour tout le temps.
    
    As-tu un métier ?
    
    • J’ai fait des études de lettres et je voulais devenir écrivain, mais j’ai rencontré Antoine et j’ai oublié mes envies.
    
    • Nous allons transformer la chambre ou couchait mon ex, nous allons en faire un bureau ou tu auras tout loisir de vaquer à tes fantasmes sur ta feuille vierge, ponds-nous un best-seller.
    
    Apelle-le.
    
    Un baiser pour entretenir notre passion.
    
    • Oui, tu as bien compris Antoine, je te quitte.
    
    • Non, j’en aime une autre.
    
    • Oui, j’ai bien dit une.
    
    Nous roulons ...