1. COLLECTION LESBIENNES. Un regard a suffi. (1/1)


    Datte: 10/08/2020, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... glissant dans l’échancrure de mon corsage.
    
    • Sens-tu comme nous sommes folles, j’ignore ce qu’il m’arrive, tu m’as touché pour m’offrir ta rose et tout a éclaté en moi, tes seins sont magnifiques, 95 C ?
    
    • Exact.
    
    • Comme moi, c’est drôle, tu as un soutien pigeonnant comme le mien, fais voir.
    
    Elle se dégage me retourne et ouvre mon corsage.
    
    • Mince, Henriette ?
    
    • Non, Jennifer.
    
    Elle éclate de rire et ouvre son corsage.
    
    • Henriette, la boutique de lingerie, nous avons les deux mêmes, toi en rose moi en violet, ton string est comme le mien de même couleur, je trouve que ce modèle met nos seins en valeur.
    
    • Puis-je les toucher ?
    
    • Tu peux, j’ai de l’avance sur toi, j’ai eu du mal à empommer celui que j’avais saisi dans ma petite main.
    
    Impensable, Nicolas attend mon retour et je caresse la poitrine d’une femme dans les toilettes, de plus elle avance ses lèvres et nous échangeons un long baisé.
    
    • Es-tu capable d’être folle ?
    
    • Oui, je te l’ai prouvé avec les roses.
    
    • Déshabille-toi ?
    
    C’est comme un ordre et contre toute attente, j’enlève la veste de mon tailleur, elle m’aide à défaire son chemisier, nous en faisons de même pour ses vêtements ainsi que nos soutiens-gorge.
    
    • Je te demandais si tu étais folle, c’est le cas, mais tu es surtout une belle salope, sortir sans culotte, il faudra que j’aie la même audace.
    
    Je me garde bien de lui dire qu’elle m’a fait mouiller et que je l’ai mis dans mon petit sac posé sur le lavabo.
    
    • ...
    ... Il y a bien longtemps que l’on est descendues, ils vont avoir des soupçons, je te propose de mettre mes vêtements et toi les miens, je parie qu’ils n’y verront que du feu, je suis devenue un bel objet qu’il aime promener à son bras sans plus.
    
    Il m’a emmené au restaurant ce soir pour la Saint Valentin dans l’espoir de nous rabibocher, mais c’est fini, mon cœur est sec, coup de chance, il s’est réveillé quand nous nous sommes touché les mains.
    
    Dans mon sac, il y a un petit répertoire, à la lettre A comme Anabelle, il y a mon adresse, demain 14 heures, dernière chose, interdiction que ton mec te baise ce soir ou demain matin, à partir de maintenant tu es seulement à moi.
    
    Elle m’embrasse et me caresse le sexe, j’ai envie qu’elle me mette sa main, mais le temps presse, je mets ses affaires même son string et nous remontons moi la première elle me suivant quelques minutes plus tard avec en main le sac de l’autre.
    
    Comme elle le supputait, ils ne voient que du feu, par chance nos tailleurs sont de coupe classique et les teintes approchantes, un dernier regard quand il se lève et retour à la maison.
    
    • Laisse-moi Nicolas, demain je vais aller voir notre médecin, j’ai encore un début de cystite.
    
    • Non, pas le jour de la Saint-Valentin, il y en a marre de tes problèmes de chatte, masturbe-moi.
    
    • Je souffre et tu penses à la gaudriole, je vais me coucher.
    
    Correct le coup de la cystite, il y a bien longtemps que j’ai compris que pour les hommes, ils confondaient, ...