1. Jennifer 2.0


    Datte: 09/08/2020, Catégories: f, fh, ffh, hplusag, noculotte, Masturbation pénétratio, fsodo, fouetfesse, policier, aventure, sf, fantastiqu, merveilleu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... d’histoire d’amour impossible, celle-ci est sans doute inédite mais pas piquée des vers.
    
    — Alors, on fait quoi ?
    — Simple. Tu me baises une dernière fois, on se casse et on fait tout sauter. Jennifer 2.0, fin de l’histoire…
    
    Dans une telle situation, n’importe qui n’aurait pas vraiment le cœur à la gaudriole ; mais n’importe qui n’a pas affaire à Jennifer. Elle n’a pas fini sa phrase que déjà elle est à genoux et qu’elle a englouti ma queue. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’elle s’occupe de moi, mais elle dispose d’un tel registre technique et d’un tel entrain qu’elle parvient toujours à faire quelque chose d’inédit. Là, c’est un florilège de gorges profondes, et elle me suce avec une telle force que j’en suis à deux doigts de me demander si elle ne va pas m’arracher les roubignolles par l’intérieur. Mon cœur bat à tout rompre ; il faut dire que c’est atrocement délicieux…
    
    Soudain, la tempête s’éloigne mais je me doute bien qu’avec elle, l’accalmie sera de courte durée. Elle m’attire alors vers elle et, tout en s’asseyant sur ce fameux établi tout à côté de l’ordinateur, son adorable petite touffe blonde m’attire comme un aimant et je me retrouve tout au fond de son ventre sans même m’en être rendu compte.
    
    Commence alors un impressionnant numéro de va-et-vient, d’autant plus impressionnant que cet assaut furieux se fait tout de même juste à côté d’un tas d’explosifs prêts à nous péter à la gueule… Ce frêle édifice tremble de toutes ses planches ; un ...
    ... peu de poussière tombe même du plafond, et c’est au moment précis où la sève monte de mes reins que je vois surgir dans cette minuscule cabane une petite dizaine d’hommes tout en noir et armés jusqu’aux dents. On se croirait dans un film américain !
    
    Malgré l’incongruité de la situation, le point de non-retour a été franchi et c’est ainsi que je me répands en Jennifer dans un cri terrifiant, bien aidé en cela par la première intéressée qui, elle, ne cherche même pas à retenir sa jouissance.
    
    Dès lors, tout va très vite : sa main jaillit vers le clavier, tape une série de touches et sans que personne n’ait eu le temps de comprendre quoi que ce soit, une formidable explosion manque de souffler l’endroit où nous nous trouvons.
    
    J’ouvre les yeux. Tout est calme et il semble que personne n’a été blessé… À l’exception de mon amour-propre, dans la mesure où c’est sous la menace d’hommes en armes que je me déboîte de Jennifer… Naturellement, c’est dans ces cas-là que la nature décide de vous jouer des tours et c’est ainsi que je me retrouve toujours liée à elle par un long filet de sperme qui n’en finit pas de s’écouler sur le sol.
    
    Nous sortons alors de la fameuse cabane ; Jennifer sourit. En fait, à l’exception de l’ordinateur désormais hors d’usage, il n’y avait rien dans cette fameuse cabane, je viens d’en avoir confirmation en apercevant le logement vide sous l’établi, la porte s’étant ouverte sous le souffle de l’explosion.
    
    De même, les explosifs placés ici n’ont pas ...
«12...252627...33»