1. Un mal pour un bien


    Datte: 09/08/2020, Catégories: fh, fhh, 2couples, cocus, Collègues / Travail Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, attache, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... seul corps, qu’une seule verge, qu’une seule queue, mon mari. Il y a longtemps que j’ai oublié ce que pouvait être la découverte d’une nouvelle bite, d’un amant de passage, d’une jouissance fugace et sans lendemain.
    
    Il entre. Mon corps l’attend. Mon cerveau imagine déjà. Il avance. Il est gros. Il est dur. J’ouvre les cuisses pour lui faciliter le passage. Il est sans fin. Si long. Si gros. Si nouveau. Pourtant je l’ai déjà vu et il n’est pas plus grand que Marc. C’est mon imagination. Le plaisir de la nouveauté. Il n’est pas seul. Sa femme l’aide. Maryse s’est collée contre son dos. C’est une possession collective. Mari et femme me prennent. Elle le pousse en avant. Hugo est en moi. Son ventre se plaque contre le mien. Il se penche sur moi et prend appui sur ses deux bras. Il me baise d’un mouvement des hanches. Ses avancées sont profondes. Ses retraits ne sont que des promesses et s’il sort de moi, ma fente doit être un canyon qui ne demande qu’à être comblé. Le plaisir est multiple. On me baise. Mon mari regarde. Maryse a disparu de ma vision et pourtant je devine sa présence par les gémissements de mon baiseur. Je la devine accroupie derrière lui et jouant je ne sais quel jeu qui l’excite.
    
    La voilà qui apparaît. La voilà qui vient vers moi, sur le lit et reprend ses caresses de la bouche, mais aussi d’une main qui est partie vers mon petit bouton. Vraiment cette femme cache bien son jeu. Dans la vie, on lui donnerait le Bon Dieu sans confession, mais dans ...
    ... l’intimité elle se transforme en amante perverse et je la soupçonne d’avoir de l’expérience, car elle semble parfaitement à l’aise que ce soit avec un homme ou une femme. Mais ce que je vois me ramène à la réalité. Je vois Marc qui s’installe derrière Hugo. L’amant prend la place de la femme. Mais lui ne disparaît pas. Au contraire il se dresse fier derrière mon baiseur. Avant de le voir, je sais ce qu’il projette.
    
    Lorsqu’il encule Hugo, c’est un peu moi qu’il possède. La puissance de l’enculade m’est transmise dans toute sa grandeur. Hugo gonfle. Sa queue est devenue si dure et si grosse qu’un instant j’imagine que celle de Marc s’est transformée en « coin », coin qui en fendant la bûche, la dilate avant de la faire exploser. Mais non ! C’est juste le plaisir de l’enculé que je perçois. Mon mari encule profond mon amant. Chacune de ses poussées est un délice. Je ressens tout, la force, le plaisir, l’excitation. Je suis maintenant le réceptacle de tous les plaisirs de la chambre.
    
    Oh, elle est loin ma sécheresse vaginale. Je suis une fontaine qui coule. Source de plaisir et de vie. Que dis-je, de vie ! Non de résurrection. C’est encore meilleur qu’avant. Jamais je n’avais imaginé que cela existe. Pour l’instant Hugo est immobile. Il n’est que le transmetteur de plaisir. Lorsque son enculeur, mon mari, lui balance la purée, accompagnant chaque giclée d’un « Han » de bûcheron, c’est comme si le foutre marital coulait en moi.
    
    J’ai joui, c’est sûr, et plus d’une fois. Mais quand ? ...