1. Un mal pour un bien


    Datte: 09/08/2020, Catégories: fh, fhh, 2couples, cocus, Collègues / Travail Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, attache, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    Mes confidences s’adressent plus particulièrement aux femmes et j’espère que mon expérience pourra en aider quelques-unes. Mais les hommes que je devine majoritaires peuvent s’en inspirer et « débloquer » une situation qu’ils soupçonnent, mais ne savent pas gérer.
    
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    Moi, la ménopause ne m’a pas beaucoup affectée par les symptômes classiques des bouffées de chaleur et de l’irritabilité ; juste un peu. En réalité c’est par la disparition de mon appétence pour la sexualité que je l’ai vraiment ressentie. Pour Marc et moi, la sexualité a toujours tenu une grande place dans notre vie. Au début on baisait au moins une fois par jour, mais bien sûr, au fil des années, nous avons diminué, sans jamais descendre en dessous de trois fois par semaine. Le nombre a été remplacé par la densité de nos baises, en introduisant de nouvelles pratiques, de nouvelles situations, de nouveaux gadgets. Alors lorsque j’ai perdu cette envie, dans un premier temps j’ai simulé, chose que j’avais peu faite avant. Et puis, comme pour me faire pardonner et éviter des pénétrations qui ne me donnaient plus de plaisir, j’ai commencé à pomper mon mari et aussi à boire son sperme. C’est à ce moment qu’il a compris que nous avions un problème. C’est ainsi qu’il a réduit ses envies au strict minimum, en général le samedi matin, alors que je suis encore chaude et humide de la nuit. Ma gynéco m’avait bien dit que cela allait revenir, mais le temps passait, passait.
    
    C’est un mercredi après-midi que ma ...
    ... vie a changé. Un début d’incendie dans les locaux où je travaille me fait terminer ma journée bien plus tôt que d’habitude. En rentrant à la maison, je sais y trouver Marc qui, en tant qu’enseignant a son après-midi de libre. Mais dès la porte d’entrée refermée, je remarque un manteau que je ne connais pas. Des bruits de voix semblent aussi provenir du fond de l’appart. Peut-être regarde-t-il la télé dans notre chambre. Mais, par la porte entrebâillée, ce n’est pas un programme pour enfant que je découvre. Une femme est à quatre pattes sur notre lit et mon mari, derrière elle, est en train de la baiser. Il y met de l’ardeur. Son ventre claque sur les fesses de sa partenaire. Sa partenaire qui ne cesse de parler, d’une voix rauque, sensuelle, avec des mots crus, encourageant son amant à la prendre.
    
    — C’est bon… Oui… Baise-moi… Tu es gros… Encore…
    
    Il me semble connaître cette voix et pourtant je n’arrive pas à lui mettre un visage. Mais la femme tourne un peu la tête du côté de la porte et je la reconnais. C’est Maryse, une collègue à Marc, prof de philo. Elle et son mari sont déjà venus à la maison et nous sommes allés chez eux. C’est elle et ce n’est pas elle. La femme qui parle si crûment, qui tortille du cul n’est pas la Maryse que je connais. Celle que je connais est presque timide. Son mari, prof de sport est plus extraverti. Ils forment un couple, tout en retenue, discret, très agréable à fréquenter. Ils sont nettement plus jeunes que nous, une quinzaine d’années ...
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