1. Un homme et une femme


    Datte: 09/08/2020, Catégories: fh, inconnu, grossexe, fête, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, pénétratio, occasion, Auteur: David Blonfali, Source: Revebebe

    ... dents. Ressortit. Il attendit encore qu’elle respire moins fort, et qu’elle ouvre les yeux. En apercevant son regard, elle eut peur pour la première fois.
    
    Il allait la prendre maintenant, ses yeux lui disaient qu’il allait la pénétrer sans retenue. Elle allait se faire baiser sans ménagement par cette tige épaisse. Il allait enfin s’introduire en elle et la fourrager de toute sa puissance.
    
    Elle sentit deux mains fortes et rugueuses s’accrocher de chaque côté de son bassin. Il la fit reculer un peu, rudement. Il baissa le nez et retrouva sa verge. Rapidement il ramena son gland, le fit pénétrer, s’arrêta.
    
    Il démarra alors la poussée. Lente. Puissante. La progression était irrésistible. Il poussa. Il poussa. Son membre disparaissait, il le sentait écarter les parois vaginales. Il sentait cette chatte trempée et visqueuse mais sentait également une grande pression. Il l’écartelait enfin, la pourfendait, plongeait en elle. Elle avait agrippé ses mains à lui et sous l’émotion les écrasait de toutes ses forces. L’intromission lui sembla durer éternellement, l’avancée de ce gros gland paraissait ne jamais devoir s’arrêter. Durant la très lente progression et encore plusieurs secondes après, elle ne respira pas.
    
    Il s’arrêta enfin, ne laissant que quelques centimètres de son pénis visible. Il lança son regard vers elle, et attendit sans bouger qu’elle le regarde. Ce qu’elle fit. Alors d’un coup il acheva sa poussée, rentrant le reste de son gros dard, plaquant son bassin ...
    ... contre le sien. Ses couilles vinrent s’écraser contre son cul. L’homme ne pensait plus, il était en elle, il la possédait, il lui avait fiché sa viandasse vulgaire et obscène dans son petit trou raffiné et subtil. La femme était assaillie par mille pensées tournoyant sans qu’elle puisse en arrêter aucune, heureuse de l’avoir accueilli, de le savoir en elle.
    
    Le mâle commença alors de longs va-et-vient, cognant à chaque fois fort son ventre contre le sien pour envoyer au loin son pénis. Elle essaya de ne pas lâcher son regard mais se sentit rapidement défaillir et laissa sa tête retomber en arrière. Il la pistonna brutalement de longues minutes sans s’interrompre ni accélérer. À chaque mouvement il se retirait aux trois quarts, laissant ressortir un imposant morceau de chair brillant et le relançait au fond de son vagin avec énergie jusqu’à la cogner de son pubis.
    
    L’homme sentait des gouttes de sueur couler dans son dos et entre ses fesses, lorsqu’il vit ses mains à lui trembler, il sut que la bête en lui revenait à la charge, en voulait plus. Il enleva sa bite d’un coup de rein rageur.
    
    Posa d’un bond ses deux pieds sur le lit, la saisissant par les aisselles il la fit reculer pour placer son vagin au milieu du lit. Il saisit ses jambes à mi-cuisse et les rabattit vivement vers elle. Ses genoux à elle encadraient maintenant ses seins, son sexe béant était plus offert que jamais. Il posa ses paluches sur ses fesses, et poussa encore vers ses frêles épaules.
    
    Elle avait ...