Catherine et les sortilèges - 6
Datte: 08/08/2020,
Catégories:
Anal
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Auteur: Axelya, Source: xHamster
... décrivant précisément ce qu’elle avait vu ce jour-là.
- La Toinette a une grosse motte fendue et couverte de poils épais et noirs. Ils forment des petites torsades qui vont jusqu’aux cuisses et pratiquement jusqu’au nombril. Au milieu il y a deux bourrelets rouges vifs, comme de fines tranches de bœufs. Elle les écarta avec les deux mains dévoilant l’intérieur de son… con. Je vis d’autres plis, le petit trou par où l’on pisse et, en dessous, un trou plus gros, d’où s’écoulait un liquide transparent qui me faisait penser à de la bave d’escargot. Je le connaissais bien, ce liquide, j’en retrouvais la trace dans ma culotte quand des pensées impies me trottaient dans la tête.
- Et l’odeur ? Parle-moi de l’odeur, dit le curé juste après s’être passé la langue sur les lèvres.
- L’odeur me plaisait. Un peu comme le poisson. Mais du poisson frais ! Toinette me suppliait de le lui mettre, baise-moi, enconne-moi me disait-elle. J’avais peur de lui faire mal mais elle me suppliait si fort... alors j’enfonçais d’un coup la courgette dans son ventre. Elle entra sans résistance. Je crains que Toinette n’ait une certaine pratique de ce côté, Monsieur le curé. Elle poussa un râle étouffé et se mit deux doigts dans la bouche. Je fis coulisser le petit homme dans son logement, doucement au début et puis de plus en vite. Le visage de Toinette était tout rouge et elle soufflait comme une jument en travail. « Pose ta main là, tu sens mon petit bouton ? Oh oui comme tu me fais du bien ...
... Catherine ».
- Tu t’es livrée à des attouchements sur cette catin !
- Oui, mon Père, comme j’ai honte ! Et ce n’est pas le pire.
- Non, tu n’as pas…
- Si ! elle me dit d’une voix rauque : « Ta langue maintenant. » C’était le Diable en personne qui me l’ordonnait. Je n’ai pas pu résister. Toinette se tordait dans tous les sens, se griffant la poitrine, jusqu’à ce qu’elle pousse un petit cri et qu’elle ne bouge plus. Sur le coup, j’ai cru qu’elle était morte. J’ai approché mon visage de sa bouche et j’ai senti sa respiration. Ensuite, je suis partie en courant.
Les yeux du Père Costes lançaient des éclairs, la colère divine incarnée. Il cria :
- C’est grand péché que tu as commis là Catherine ! La punition doit être à la hauteur de la faute. Défais ton corsage. Allons ! Ce n’est pas assez, ta poitrine et ton dos doivent être exposés.
Catherine se retrouva à moitié nue, tremblante de peur. Le curé s’absenta quelques instants, sans doute pour se rendre à la cuisine. Quand il revint, il portait plusieurs tiges vertes à la main que Catherine n’eut aucun mal à reconnaître : un bouquet d’orties fraîches.
- Lève les bras au-dessus de ta tête et ne cherche pas à te dérober dit-il avant d'abattre à plusieurs reprises le faisceau sur les seins de Catherine.
Bien que le Père Costes frappa fort, le contact des feuilles sur la peau ne constituait pas le gros du supplice. La sensation de brûlure résultant de l’effet urticant était bien pire, d’autant que le curé ...