1. Catherine et les sortilèges - 6


    Datte: 08/08/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: Axelya, Source: xHamster

    ... autre main, elle se caressait l’entrejambe. Elle avait les yeux fermés et tout occupée à son affaire, elle n’avait pas remarqué ma présence. Je finis par toussoter et là elle ouvrit les paupières. « Tiens donc ! la Catherine » me dit-elle. Je lui demandais ce qu’elle fabriquait dans la grange, plutôt que de traire les vaches comme on lui avait demandé. Elle me répondit qu’elle faisait sa gymnastique. Je n’avais jamais vu quelqu’un faire de l’exercice de cette manière… Elle ajouta que cela la préparait à rencontrer des garçons et peut-être son futur mari. Nous discutâmes un moment de ce sujet car j’étais fort ignorante dans ce domaine et, je l’avoue, plutôt curieuse. Elle me dit que la courgette était ce qu’elle avait trouvé de plus ressemblant à un membre viril et que les hommes appréciaient grandement qu’on les prenne en bouche tout en les branlant. « Regarde-moi donc, je te fais une démonstration ! » dit-elle juste avant de lécher le bout de la courgette avec une mine pas possible. Elle en tirait visiblement grand plaisir, comme si le légume était couvert de miel. Elle le caressait avec passion. « Imagine qu’il y a des couilles au bout » ricana-t-elle tout en flattant ces organes fantômes de la main. Elle fit aller et venir la courgette dans sa bouche puis me proposa de le faire à mon tour. Elle me dit qu’elle avait nettoyé son « petit homme » dans la fontaine et qu’il était bien propre. Oui, elle l’appelait ainsi, « petit homme ». Comme je protestais, elle me demanda si ...
    ... je voulais rester une ignorante godiche dont le monde se moquerait toute ma vie. Je lui répondis que non et que je l’avais bien vue à l’œuvre et que je n’étais pas plus idiote qu’une autre. Je me saisis du petit homme, fermai les yeux et me mis à le lécher puis l’introduisis dans ma bouche. J’avais chaud, mes joues étaient brûlantes. Je ne pouvais pas m’empêcher de me voir en train de sucer un garçon, sa verge gonflant sous ma langue. Une envie irrépressible me vint de glisser la main entre mes cuisses pour me donner du plaisir. Toinette me dit d’arrêter. « Je veux que tu me la mettes » ajouta-t-elle. « Te la mettre où ? » lui répondis-je. « Dans la chatte bien sûr ! » Oh ! Monsieur le curé, je savais que nous commettions un péché mortel mais je ne pouvais point m’en empêcher. Je voulais voir cette grosse queue verte s’enfoncer dans le ventre de Toinette, la bouche d’en bas qui s’ouvre et l’engloutit. Je me mis à quatre pattes. Jamais je n’avais vu les parties honteuses d’une autre d’aussi près. Toinette écartait grand les jambes et je ne pouvais rien manquer du spectacle de sa… chose.
    
    - Quelle chose ? Tu ne sais donc pas comment l’appeler ?
    
    - Mon Père, je n’oserai…
    
    - C’est d’un con dont il s’agit ! Tu ne dois pas hésiter à employer ce mot qui désigne le sexe de la femme, cet orifice répugnant
    
    inter faeces et urinam
    
    !
    
    Catherine baissa les yeux, submergée par la honte. Le Père Costes saisit le menton de la jeune femme avec douceur et l’invita à poursuivre en ...
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