COLLECTION VENGEANCE. Elle se mange froide (3/3)
Datte: 06/08/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... sans surnom est plus efféminé mais semble plus pervers.
- Pas si cour, j’aime que les cheveux retombent sur mes épaules.
Je lui dis cela me regardant dans la glace qu’il a posé sur la table.
Encore une, pourtant je la vois partir mais il est plus rapide que moi et je tombe de ma chaise.
J’ai une nouvelle fois compris, je ferme ma gueule à partir de ce moment-là.
Il me fait signe de m’allonger sur mon lit, c’est ma chatte qu’il rectifie.
J’ai l’impression d’une mariée se préparent pour ses noces.
Dès le soir, plateau et trois clients me rappellent à ma réalité, je suis là outre pour assouvir ces hommes, surtout pour assouvir la vengeance de Jean, celui que j’ai fait enfermer.
Dans les jours qui ont suivi, je constate une chose bizarre.
J’ai l’impression d’avoir encore l’estomac plein quand mon plateau arrive.
Certes le sperme que l’on me fait ingurgiter doit y être pour beaucoup surtout certains soirs les clients étant légion.
Mon bourreau veut-il me punir très sévèrement et me faire plusieurs séances de passes dans la même journée.
La liste d’attente pour venir me baiser s’allonge-t-elle au point de me faire faire des heures supplémentaires !
Rapidement je l’ignore car le temps enfermé sans jamais sortir n’a pas la même valeur que lorsque ma vie se déroulait de façon normal.
Une autre fois et les choses se sont renouvelées on m’a remis la cagoule sur ma tête.
Toute la soirée, pardons, j’ignore l'heure réelle, tout le temps où ...
... l’homme a été là j’ai été baiser sans savoir qui il était.
J’ai de gros doute que ce ne soit pas Jean qui vienne se servir de la bête trompant par la même occasion ma mère.
Ma bouche est libre et je reçois du sperme à grande giclée.
Un jour on me met une cagoule et je suis tirée vers l’extérieur de ma cellule, vais-je prendre l’air ou mon calvaire va s’arrêter ?
On me sort, la brise que je sens sur mes seins et ma chatte.
Hier doigts de fée est venus me faire désirable.
Je me suis vue dans sa glace, je deviens plus pulpeuse, plus plantureuse.
Le temps que je me regarde, je prends les deux traditionnelles baffes me faisant tomber sur mon cul, par chance sur la chaise.
On roule, roule et roule encore.
On m’a attaché une main en l’air par une menotte, certainement à la poignée au-dessus des portes des voitures.
On s’arrête, on me détache et la voiture repart.
J’attends transie.
Je finis par enlever ma cagoule.
« Bar » en lettre lumineuse.
J’avance vers la porte où un Juda permet de voir qui a sonné.
- Qu’est-ce que vous cherchez ?
- Laissez-moi entrer, j’ai été enlevé.
La porte s’ouvre, une femme ayant environ l’âge de ma mère se tient devant moi.
- Ça, ce n’est pas banal, des putes j’en ai vu dans ma chienne de vie.
J’en ai trois en haut qui attendent le client.
Mais une qui vient directement nue, je n’en ai jamais eu.
Elle me fait entrer, dans le bar trois filles sans client.
J’explique mon histoire, la patronne ...