COLLECTION VENGEANCE. Elle se mange froide (3/3)
Datte: 06/08/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Coralie :
Il y a quelques heures que je suis nue dans ce qu’il semble être une cave aménagée par Jean mon beau-père à qui j’ai fait faire 3 ans 6 jours et 10 heures de prison pensant protéger maman de ses maltraitances.
Je me suis peut-être trompée, au tribunal maman est venue le défendre disant au juge que ce n’était que des jeux érotiques.
Ma mise en scène a été si efficace qu’il a balayé ses arguments prenant en compte que les faits que je lui avais rapportés.
Cinq ans, c’est la peine qui lui est assignée.
Je l’avais oublié quand il se rappel à mon bon souvenir en me séquestrant dans cette cave.
Il y a quelques jours qu’il me prostitue à ce qui semble être des hommes de tout genre et de tout âge sorti des geôles françaises.
Enfermé 3 ans 6 jours 10 heures, il me promet le même temps enfermée dans ce trou d’une grande propreté pour autant.
Pour en sortir, j’ai essayé la grève de la faim, je n’ai pas tenu deux jours.
Il faut dire que le plateau-repas est succulent.
J’ai tenté le suicide projetant la carafe d’eau que j’avais demandé contre le mur, là encore sans succès, la porte s’étant ouverte presque immédiatement et j’avais ramassé les deux baffes qui semblent m’être destiné.
Ultime tentative, le client !
Je dis bien le client, jeune homme que je reçois seule mes tortionnaires n’hésitant pas à me livrer à cinq hommes à la fois.
Je sens que si c’est un ex-tolar, c’est un jeune ...
... homme qui a dû se faire embarquer contre son gré et que c’est un garçon ayant de l’éducation.
Je lui propose de prévenir la police et que je serais à lui le temps qui le voudra.
Le temps passe, la porte s’ouvre, je suis persuadée que c’est la police.
Et je me ramasse deux nouvelles baffes dans la gueule me faisant valser au sol.
Mon Dieu qu’il cogne fort, pourtant le même jour, je découvre son côté féminin dans ce corps de brute.
La porte s’ouvre et ils sont là tous les deux, joli couple d’homosexuelles car la chatte à l’air ne semble pas être leur centre d’intérêt.
L’homme à claques toujours cagoulé a des gants de ménagère.
Ils me mettent accroupie dans l’un des coins de ma cellule car même si je n’ai aucun barreau autour de moi, j’ai bien conscience que je suis dans une prison pour le même temps que celui passé par mon beau-père dans la sienne.
Une vraie fée du logis, toujours sans un mot, il entre et il sort au gré du nettoyage qu’il fait.
Sa tantouse reste à la porte, mais je ne vois pas ce qu’il y a derrière.
La serpillière passée, je pense qu’il en a terminé, mais c’est mal connaître doigts de fée, du moins c’est ainsi qu’à partir de ce jour je le surnomme.
Il arrive avec tout le nécessaire d’une coiffeuse à domicile et se met à me refaire la tête.
L’autre vient à moi m’empoigne par les cheveux sans ménagement.
S’ils sont en couple, qui est l’homme qui est la femme, je cherche encore car doigts de fée est musculeux alors que celui ...