Une tranche de vie 14
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Maceron, Source: Hds
... dis : « Je sens que quelque chose croit entre nous »
Véro : »Je pourrais peut-être m’en occuper ? Est-ce que ta secrétaire ne risque pas de venir ?» Je me dirigeais vers la porte de communication et l’ouvrant je dis à ma secrétaire : « pendant l’heure qui suit, je ne veux pas être dérangé, personne, compris » « Elle me répondit « D’accord Chef »
Véro : « On ne sera pas dérangé ? »
« Ne t’inquiète pas, elle a empêché un secrétaire des TP d’entrer »
Avec Véro on se recolla et Véro reprit : « Tu parlais de brouter quoi ? Je pense que c’est le moment, je sens que la touffe s’humidifie »
Moi : « Assieds toi sur le bureau, relèves ta jupe et montres moi cette jolie moule »
Ce qu’elle fit et je m’aperçus qu’elle avait un joli slip quasiment transparent. « Mais, tu caches ta chatte ? Ce n’est pas dans nos habitudes.»
Véro : « Je ne pouvais pas venir nue sous ma jupe, j’ai mis le plus petit que j’ai pu trouver, mais tu peux l’enlever»
Moi : « Mets toi sur le bureau exceptionnellement je vais te l’enlever et tu écartera largement les cuisses pour me montrer ta chatte »
« Oui, dénudes ma chatte et je vais m’ouvrir à toi » C’est ce que je fis, elle sera les jambes pour me permettre de lui enlevé son petit slip et aussitôt après elle écarta largement les cuisses me donnant une belle vue sur sa chatte.
Véro se laissa glisser du bureau et me dit : « Laisse moi, j’ai envie de te sucer, de goutter à ta queue, pour me faire pardonner »
Mon attirail fut ...
... rapidement mis à l’air et elle entreprit de le prendre en bouche et commencer un pompage énergique. Elle avait des lèvres douces et enveloppantes qui étaient accompagnées par une langue agile. Le résultat ne tarda pas à se faire sentir j’avais une trique dure et gonflée prête à servir. Elle le senti et me demanda : « Tu veux prendre ma bouche ? » « Non je veux ton abricot, je veux te fourrer la chatte, monte sur le bureau et ouvres toi que je vois ton abricot »
Elle ralenti la cadence puis passant deux ou trois coup de langue sur ma hampe, elle se releva et s’installa sur le bureau en écartant généreusement les cuisses et me demanda : « C’est assez ouvert, viens prendre ma chatte avec ta bouche, viens me boire ». Ce que je m’empressais de faire, mais ce jeu ne dura pas très longtemps, je lui lâchais la chatte et pointais ma queue en remplacement, qu’elle guida vers son intimité et qui y pénétra facilement tellement elle était prête à me recevoir. Je commençais à la travailler avec es va et vient. Elle encaissait mes coups de reins par des « Han, …oui » successifs. Le plaisir venant Véro commença à se lâcher « OuiIII, … continues, … baises moi, ….baises moi fort , … OHHHHHH … Ouiiiiii, … remplis moi, … c’est bon, … ne t’arrêts pas, …». Heureusement que le climatiseur fonctionnait à fond et les moteurs des engins de l’atelier voisins tournaient, tout cet environnement bruyant couvrait aisément les bruits que nous pouvions faire. Véro se cambra avec des : « OUIIIIIII, …, OUIIIIII ? ...