1. Une tranche de vie 14


    Datte: 14/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... pouce titillait mon petit trou. Il ressorti ses doigts trempés de ma mouille pour humidifier mon petit trou. Recommençant plusieurs fois son manège pour enfin en s’enfonçant dans mon minou s’enfoncer également dans ma rosette. Je manifestais assez bruyamment mon plaisir ce qui excitait Jean et le confortait dans son action. Je le suppliais, de me prendre, je voulais sentir ses va et vient en moi, mais il me dit : » Avant je veux que tu me suces ». Je me mettais à genoux et le pris en bouche, au bout de quelques aller et retour je lui demandais « Tu veux prendre ma bouche »
    
    « Non pas maintenant, mais suces moi bien et fais toi plaisir ». Il savait que le suçant j’aimais bien me caresser et me pénétrer. Ce que je fis.
    
    Je commençais à n’être qu’une envie, qu’il me prenne ce qu’il voulait, mais qu’il me prenne. Je quittais sa queue qui avait bien durci et je lui dit « Prends moi, vite, je te veux, viens, prends moi comme ça » Je le suppliais, de me prendre, je voulais sentir ses va et vient en moi. « Tu veux que je te prennes en levrette »
    
    « Oui, j’ai envie de toi, montes moi dessus, je veux te sentir me monter » Il se laissa tomber derrière moi, parcouru avec son sexe le sillon de mes fesses pour enfin venir se présenter dans ma moule ouverte et ruisselante. Je le prenais et le guidais en moi. Enfin mon chaud fourreau était plein de lui et l’accueillait enfin. Me tenant par les hanches il commença à me travailler « à m’astiquer le minou » comme il disait quelque fois. ...
    ... La pression montait, quand tout à coup, il sortit de moi. « Non, non, continues, ne t’arrêtes » En fait il remonta le long du sillon de mes fesses et il me dit :
    
    « écartes tes fesses, je veux prendre ton cul »
    
    AL : « Non, pas maintenant, continues dans ma chatte »
    
    Jean : « J’en ai envie, ouvres toi »
    
    Tout à coup j’en ai eu envie. J’écartais mes fesses et les ouvris, il se présenta sur mon petit trou et m’ayant préparé avant avec son pouce il commença à s’enfoncer lentement, et fermement jusqu’à ce que je m’ouvre et l’accueil complètement. Il se mit à me ramoner régulièrement, je sentais le plaisir monter. Je glissais ma main droite entre mes cuisses dans mon minou et je me masturbais suivant le rythme imposé par mon mari.
    
    Jean : « Je sens que ça vient » et il continua à me ramoner quelques secondes encore et explosa pendant que mes doigts se trempaient de cyprine. Et que le cri que je poussais exprimait ma jouissance, en espérant qu’il n’y ait personne dans les environs. Faute de quoi, ils n’auraient pas besoin de dessin pour deviner sur ce qui ce passait dans cette cabane.
    
    Je me laissais aller au sol, Jean s’écroula sur moi et il me prit la main et se mit à sucer, lécher mes doigts qui sortant de ma moule étaient plein de cyprine, ce qui me fit couler de plaisir, j’avais encore l’impression de lui faire l’amour. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas baisé avec cette intensité. J’en avais les jambes flageolantes et je devais me coller à lui pour me ...
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