Héloïse, ou les chemins de traverse (2)
Datte: 04/08/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
alliance,
amour,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fist,
double,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Tancrède, Source: Revebebe
... tapissa abondamment de salive, tenta de s’introduire en elle. L’anneau s’assouplissait progressivement, le beau cul s’entrouvrait, réclamant une caresse plus précise. Plus intime. François tendit son doigt à Héloïse :
— Mouille-moi avec ta salive, demanda-t-il. Abondamment. Je vais ouvrir ton cul.
La jeune femme n’hésita pas une seconde : elle lécha l’index offert, laissa sa salive couler. Elle dégoulinait le long du doigt. François le retira de la bouche accueillante, puis le posa avec tendresse sur l’anus désormais impatient. Il pressa doucement. L’anneau céda sans peine, la porte étroite laissa deviner les prémisses de son mystère. Héloïse gémit, mais elle souleva ses fesses comme pour mieux s’offrir. Elle se retrouva à genoux, les cuisses très largement écartées, les reins creusés, la tête dans la couette.
Lentement, l’index s’enfonçait. Les parois intimes se refermaient autour de lui mais jamais plus douce prison n’aurait pu l’accueillir. Héloïse avait le cœur battant et François le regard subjugué : l’anus refermé sur son doigt le fascinait. Il vivait un moment d’éblouissement – un éblouissement qui l’enchantait mais en même temps le rendait comme fou.
Il ôta son doigt, le lécha avec gourmandise avant de le noyer de salive et d’y adjoindre son majeur. Cette fois, ce furent les deux doigts qui ensemble reprirent leur découverte. Les mouvements de ses doigts étaient pour François comme une expérience magique : quand il ressortait ses doigts, les écartait pour ...
... accroître l’ouverture secrète, il avait l’impression de dévoiler une énigme et un trésor. Pour lui, l’amour avec Héloïse devait être une fête brûlante : il s’était toujours promis de refuser les conventions déguisées en convenances, les soi-disant libertés habillées en peau de chagrin. Et Héloïse était pour lui une œuvre d’art, vulnérable, fragile. Il avait découvert en elle un équilibre précieux entre le cœur et l’esprit, une volonté de s’ouvrir à l’inconnu qui le fascinaient. En lui ouvrant ses fesses, elle avait fait de lui,nolens volens, un Moïse des temps modernes en quête d’uneterra incognita – allusion biblique qui ne manqua pas de l’amuser.
François accentua sa pression : il voulait à tout prix que ce cul adoré s’ouvre, qu’il bée et palpite pour lui, pour lui seul, qu’il lui dévoile son mystère.
Héloïse avait décrypté les obsessions de son jeune amant : elle avait encore creusé les reins, tendait ses fesses en une ultime offrande. Elle avait mal quand François l’écartelait mais elle en était fière. Sa souffrance, lui semblait-il, la rendait plus forte, plus maîtresse d’elle-même, quasi invincible. Elle y voyait l’affirmation inattendue d’une conquête de soi et s’en trouvait bien. Elle n’eut dès lors aucune hésitation quand François lui demanda :
— Viens, mon bébé. Enfonce tes doigts en toi et fais-toi jouir.
Elle trouva tout de suite son petit bouton gonflé. Elle l’effleura, faillit sursauter de plaisir. Alors, ses doigts furent en elle. De l’autre côté de ...