1. Jeu dangereux


    Datte: 04/08/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, Collègues / Travail grossexe, grosseins, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, Auteur: Roadrunner59, Source: Revebebe

    ... plaire. Sous tes airs sérieux, t’es une vraie salope qui aime la bite. Vas-y, applique-toi… Là, c’est bon ; je suis sûr que tu peux sucer comme ça un bon moment. Au fait, si tu ne veux pas te salir et avoir l’air suspect devant tes collègues, tu vas devoir tout avaler… Mais bon, je te rassure : je vais tenir un moment.
    
    Sandrine continue et la fellation dure dix minutes.
    
    N’y tenant plus, Stéphane éjacule un long flot de sperme dans la bouche de Sandrine ; il n’a pas lâché sa tête, elle est forcée d’avaler, elle qui n’avait jamais voulu céder au caprice de son mari, se retrouve à boire tout ce que le Black lui crache dans la bouche. Enfin, il la lâche ; elle a presque tout avalé, un peu de sperme lui coule du bord de la bouche.
    
    — Tu vois ? Tu as assuré ! lui dit Stéphane tout souriant. Demain, on continue le rangement, et cette fois, tu mets une jupe et un petit top sexy, et surtout pas de culotte. C’est compris ? Tu m’obéis, maintenant : tu ne voudrais pas que je raconte ça à tes collègues ? Tu imagines la honte pour toi…
    
    Et il la laisse dans la réserve, reprend ses affaires dans le bureau et part comme s’il ne s’était rien passé.
    
    Sandrine est complètement perdue ; elle a conscience qu’il la forcée à le sucer, mais elle a aimé ça. Elle est prête à ne pas aller travailler le lendemain, mais décide d’y aller et de résister.
    
    —ooOoo—
    
    Elle a quand même mis une jupe, a opté pour un top à fines bretelles et a mis une culotte. Elle arrive en avance pour avancer ...
    ... un maximum sur le rangement et peut-être ne plus devoir rester au sous-sol avec Stéphane. Malheureusement, lui aussi est arrivé tôt.
    
    — Bonjour Sandrine, tu vas bien ? Je vois que tu es bien plus sexy aujourd’hui ; t’es même super bandante.
    — Écoute, Stéphane, il faut arrêter ; je vais me plaindre. On en reste là, il ne s’est rien passé.
    — Oh, que tu crois… Regarde.
    
    Il sort son portable et montre une photo qu’il a prise la veille : on la voit nettement sucer Stéphane, elle tient son pénis à deux mains.
    
    — Alors ? Personne ne croira que je t’ai forcée.
    
    Sandrine est muette de stupeur. Il s’approche d’elle et commence à faire glisser ses bretelles de top et de soutien-gorge ; elle ne bouge pas. Ses mains descendent vers ses seins. Il abaisse doucement son top et son soutien-gorge dans un même mouvement ; ses gros seins jaillissent : les aréoles sont larges, et les tétons dressés. Elle frémit sous le regard de Stéphane.
    
    — Dis donc, tu as vraiment des beaux nichons ! Tu sais que les hommes du bureau ne parlent que de ça, vu que les autres femmes du bureau sont pas aussi équipées que toi ? Tu es le sujet de conversation numéro un. Il y en a plus d’un qui voudrait être à ma place.
    
    Il les prend en main, commence à les caresser et se met rapidement à les pétrir, en suçant les bouts. Ceux-ci durcissent de plaisir.
    
    Pour Sandrine, il faut qu’elle résiste : le chantage qu’elle subit est insupportable, mais les révélations sur ses collègues masculins – et surtout les ...
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