1. Jeu dangereux


    Datte: 04/08/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, Collègues / Travail grossexe, grosseins, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, Auteur: Roadrunner59, Source: Revebebe

    Sandrine est une femme de 45 ans, blonde, un peu ronde, dotée d’une grosse poitrine.
    
    Elle a depuis peu un stagiaire qu’elle doit former ; il s’appelle Stéphane, un jeune Noir d’origine congolaise, il a 25 ans, est assez petit mais n’est pas désagréable à regarder.
    
    Ce n’est pas son premier stagiaire, mais elle n’est pas près d’oublier celui-là. C’est une conversation avec Brigitte, sa collègue, qui va être le point de départ de cette histoire. Réunies autour de la machine à café – les sujets les plus chauds sont les plus appréciés – Brigitte demande à Sandrine :
    
    — Alors, ton stagiaire, tu es en satisfaite ?
    — Franchement, oui. Il est un peu lent, mais est plein de bonne volonté, et fait de son mieux pour me satisfaire.
    — Oh ? Il te donne entière satisfaction ? C’est bien ; et la réputation des Noirs n’est pas usurpée, alors ?
    — Toujours obsédée, ma petite Brigitte ; ce n’est pas ce que je voulais dire… dit Sandrine en rougissant.
    — Allez, tu peux nous le dire : il est pas mal, c’est un mec, il doit souvent te mater. Tu ne l’as jamais senti te regarder quand tu te penches vers lui, par exemple ?
    — Euh, mais non, je t’assure.
    — En tous cas, il paraît que les Noirs sont super montés ; faudra lui demander ! dit-elle en riant. Ou mieux vérifier.
    — T’es une grande malade…
    — Quoi, tu ne le crois pas bien monté ?
    — Peut-être… Je n’en sais rien. Tu n’as qu’à vérifier toi-même.
    
    À ce moment, Stéphane arrive.
    
    — Tiens, tu tombes bien ! dit Brigitte ; Sandrine ...
    ... était en train de nous dire qu’elle t’appréciait et que tu lui donnais entière satisfaction.
    — Ne fais pas attention, Stéphane ; Brigitte commence à perdre les pédales : c’est l’âge, tu comprends…
    — Non, mais c’est gentil de dire ça, j’apprécie, dit Stéphane en souriant et en regardant longuement Sandrine.
    — Bon, je vous laisse, j’ai du travail, dit Sandrine toute perturbée.
    
    Stéphane revient s’asseoir à son bureau, face à Sandrine, et se sent un peu gêné.
    
    — Au fait, je suis désolé si je t’ai mis mal à l’aise tout à l’heure, mais c’est toujours bien de se savoir apprécié.
    — Non, tu n’y es pour rien : c’est Brigitte qui embrouille toujours tout. C’est vrai que tu bosses bien, et c’est important que tu le saches.
    — Merci. J’ai une question sur ce dossier : comment peut-on savoir où imputer ce paiement si le libellé est mal rédigé ?
    — Tu as différents moyens pour cela ; tu peux, par exemple, procéder par élimination. Je vais te montrer.
    
    Sandrine vient se placer à côté de lui et se penche pour lui expliquer. Mais tandis qu’elle lui montre comment faire, les propos de Brigitte lui reviennent en mémoire :« Tu n’as jamais senti qu’il te regardait quand tu te penches, par exemple ? » Elle le regarde et découvre qu’il a les yeux complètement perdus dans son décolleté ; il est vrai qu’en se penchant, son chemisier s’entrouvre et laisse voir le haut de ses seins et son soutien-gorge.
    
    Sans rien dire, Sandrine revient à son bureau ; elle est très troublée : elle a vu que ...
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