Police polissonne (16)
Datte: 03/08/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... chaque veine de ce sportif ; il lui caresse doucement la fesse droite. En fermant les yeux il se laisse emporter dans une douce torpeur pour mieux apprécier chaque caresse, chaque baiser. Il semble voler vers les nuages. Quand une main curieuse passe sous la ceinture du caleçon protecteur, il sursaute. Quand les doigts jouent avec ses poils pubiens et glisse le long de sa hampe raide comme un bâton, et déjà humide de désir, il est parcouru par un frisson ; il se laisse envahir par le plaisir.
Elle s’allonge sur lui et sa langue cherche la bouche de l’homme, puis les lèvres et la langue qu’elle attrape et aspire, suce et fait rouler contre la sienne. Sa chatte coule de ce liquide âpre au goût subtil, elle s’excite toute seule. Son vagin réclame déjà et commence à la supplier d’agir et vite. Elle mordille les tétons, les lèches et les suces ; puis descend en laissant une traînée de salive sur l’abdomen du garçon et atteint son sexe tendu qu’elle libère de son carcan.
Quand elle l’embouche, l’homme vibre, son échine se tend, ses bourses gonflent ; l’envie de prendre cette petite effrontée arrive comme un éclair. Sans réfléchir, il prend sa tête entre ses mains et accompagne le mouvement de va-et-vient. Elle est gourmande, elle dévore l’engin plus grand et plus gros que ce qu’elle espérait.
Olivier, pour qui ces premières caresses font sauter les verrous de cette fausse pudeur, dictée par les grands préceptes de la religion qui interdit tout, et même de se regarder nu ...
... dans une glace. Il repousse Sonia, elle se retrouve assise sur l’autre lit et lui à genoux le sabre au clair. Dans la pénombre, un obélisque se dresse vers le ciel ; Sonia ne peut pas laisser passer ça. Et malgré l’envie qui lui tord les entrailles, elle se jette sur le membre, le saisit à deux mains et fait rouler le gland dans sa bouche. Elle le suce et l’aspire très fort, mord le gland et l’enfonce au plus loin qu’elle peut, force le fond de sa gorge jusqu’à en suffoquer. Elle bave, sa salive coule sur ses seins ; lui gémit. À deux mains elle prend le membre et le masturbe très fort, mord la hampe, la lèche comme un esquimau, tente d’entrer son petit doigt dans le petit orifice. Puis tout en suçant le gland, elle fait rouler dans le creux de ses mains les bourses velues et gonflées. Elle veut goûter à ce nectar dont elle raffole surtout en dessert, alors elle emprisonne le gland entre ses lèvres et le masturbe (elle sait par expérience que c’est le moyen le plus rapide pour faire éjaculer un homme). Elle masturbe le gland avec ses lèvres, branle la tige d’une main et malaxe les couilles de l’autre. Olivier est aux anges, il sent son sperme prêt à s’expulser, il se retient ; mais pas assez.
— Nonn... ! s’écrie Olivier... Nonnn... pas maintenant !
Il est trop tard, il lâche un flot de sperme dans la gorge de Sonia. Elle le pousse, il tombe à la renverse sur le lit et elle le pompe encore et encore. Elle veut tout récupérer, se remplir la bouche de sperme, et tout avaler ...