Police polissonne (16)
Datte: 03/08/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... pas.
— Ah bon, eh bien moi, jusqu’à ce que je parte de la maison ; à l’époque où tout allait bien. Quand mon père partait au boulot, avec ma mère on restait toute nue toute la journée. Alors tu n’va pas me dire que tu as la trouille de te foutre à poil devant tout le monde parce qu’ici, si j’ai bien compris, il ne faut pas avoir de complexes.
— Oui, c’est ce que j’ai cru comprendre ; mais chez moi ça ne se fait pas, je te l’ai dit. C’est terrible, j’ai la trouille ; je crois que cela ne va pas être possible. Mon père ne m’a jamais dit que ça se passait comme ça.
— Ah, je vois ; je peux te guérir si tu veux, car moi j’ai envie d’un câlin.
Elle ne lui laisse pas le temps de dire un mot que son tee-shirt est déjà au pied du lit et que son jeans l’a rejoint aussitôt, comme son habitude ai de ne jamais porter de sous-vêtement ; elle est nue. Elle a évidemment remarqué que son camarade de chambrée n’était pas indifférent à ses charmes, une bosse est en train de déformer le drap.
— Mais on ne peut pas coucher ensemble, ça ne se fait pas ; on ne se connaît pas.
— Eh bien on va faire connaissance, moi je commence par la queue ; c’est un principe. Si le mec ne me convient pas au plumard, je laisse tomber. Alors tu laisses tomber ton bouquin et on baise, tu m’as foutu une sacrée envie tout à l’heure.
— Quoi tu m’as regardé ?
— Bah, qu’est-ce que tu crois, je ne pouvais pas rater ta séance de déshabillage. Moi j’suis comme les mecs : quand il y a un beau cul à ...
... mater, je mate. Ce n’est pas plus dur que ça. Alors tu me fais une petite place ?
Devant l’insistance de Sonia, Olivier, rouge comme une tomate prend sur lui, et à cause de la vue du corps nu et désirable de la jeune femme ; il cède.
— Oui, mais ça va être juste en place.
— Attends, j’ai une idée.
Elle se lève d’un bond, fait le tour de son lit en ondulant des hanches, le saisi par le côté et le pousse d’un coup sec avec les genoux vers celui d’Olivier.
— Regarde, un lit de palace dans cette piaule de merde !
— Tu as raison.
— Waouh... Tu m’as dit TU ! C’est cool ça.
Elle fouille dans son sac, en sort un petit étui plat et carré, et le place sous son oreiller.
— C’est quoi ?
— Au cas où, et pas de discussions, dit-elle en s’allongeant à côté de lui.
Elle place sa tête contre le cou d’Olivier et pose délicatement sa main sur le torse imberbe. Elle respire cette odeur de transpiration qu’elle adore, pour elle, cela représente la force et la puissance. Elle aime se faire dominer de temps en temps, se faire prendre par surprise par-devant ou par-derrière, ..., et plein d’autres choses encore. Elle adore caresser la peau lisse d’un homme, palper ses pectoraux surtout quand ils sont fermes et bien dessinés.
— Tu sens bon tu sais... lui dit Olivier.
— Allez, caresse-moi.
— C’est que... je ... enfin.
— Ah OK ! Toi t’est timide ou puceau ou peut-être les deux. Alors laisse-moi faire.
Alors elle s’amuse à compter chaque muscle abdominal, ...