1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (5)


    Datte: 03/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lyon Libertin, Source: Xstory

    ... francs, mais la salope en avait quand même eu pour son argent). J’ai pris une photo avec mon numérique, et j’ai toujours la photo, comme j’ai toutes les autres. Et bien sûr, le tout sans capote… c’était certainement irresponsable, car je restais un libertin et rien ne disait que d’autres hommes ne passaient pas dans la journée, ou les autres soirs, pour lui ramoner les conduits, peut-être sans capote aussi, la laissant comme moi avec quelques centilitres de semence au fond des organes. Mais j’étais clairement amoureux, ce qui n’immunise contre rien sinon contre la clairvoyance !
    
    Puis ce fut le moment des vacances en famille, même si ma « famille » était en train de se déliter - nous partions quand même à trois, par égard pour la progéniture, tant que nous vivions encore sous le même toit. A vrai dire, pendant ces trois semaines à la mer, je rêvais que ma femme - celle qui l’était encore - ait des envies de baise sous l’effet des cocktails et du soleil. Mais rien… je trouvai quelques expédients en draguant une femme sur place, sous le soleil des Caraïbes; mais finalement, dans ces clubs familiaux, l’ambiance n’est pas autant à la baise que dans les célèbres films du Splendid : et c’est ma chère main qui s’occupera de faire gicler, chaque jour, mon sexe en jachère. Tant pis pour ma femme, je retournerai voir Sarah, qui de son côté, me dit-elle au téléphone (au prix où étaient les communications internationales à l’époque, ce furent de coûteuses déclarations), avait vraiment ...
    ... besoin de me revoir, et se masturbait chaque jour en utilisant les cassettes de nos ébats.
    
    À la rentrée, je revins donc deux ou trois fois m’occuper de l’entrejambe de ma dulcinée. Et puis, les choses se précipitèrent : Michel me fit comprendre qu’ils se séparaient, qu’elle n’avait plus d’yeux que pour moi. il me fit même passer les derniers montages. Peu après, je prenais un appartement, quittait ma propre femme; et Sarah et ses enfants vinrent emménager avec moi. Lui, allait vivre avec une "vague copine" - Sarah émit l’hypothèse que ça n’avait rien d’improvisé. Il n’est pas impossible que le candauliste ait orchestré ces rencontres en espérant qu’elle pourraient finir par lui rendre sa liberté, tout en mettant la situation sur le dos de cette traîtresse de mère indigne !
    
    Notre histoire allait durer quatre ans. De son côté, ma femme prit aussi un appartement tout proche, alors que nous avions vendu notre maison. Je pouvais ainsi facilement voir mon fils, qui pour autant ne s’est jamais vraiment entendu ni avec Sarah, ni avec ses enfants. Au cours de ces quatre années, nous allions mener une vie libertine tambour battant, du moins pendant les deux premières. Les deux suivantes virent ma magnifique compagne se lasser quelque peu, et les sorties se raréfièrent pour finir par cesser tout à fait. Notre couple ne résisterait finalement pas à l’effritement de nos activités sexuelles : le libertinage nous avait réuni, et sans lui, ça ne fonctionnait plus vraiment. Mais il me ...