1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (5)


    Datte: 03/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lyon Libertin, Source: Xstory

    Rappel du chapitre précédent : Lors d’un trio libertin avec une superbe coquine et son mari candauliste, des sentiments se sont mêlé sans prévenir à la partie de sexe...
    
    Les histoires de cette série racontent mes vraies expériences, sans aucun ajout, aucune invention, sauf les identités, modifiées ou omises.
    
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    Un couple libertin se sépare, un autre se forme...
    
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    Le mari de Sarah, Michel, m’avait donc proposé à l’issue de notre première soirée de revenir "quand je voulais" pour baiser sa femme, du moment que je mettais en place son caméscope. Le mercredi suivant, j’étais donc de retour dans leur petit logement; le mari était absent, et j’allais essayer à peu près toutes les positions avec cette femme magnifique. Plutôt docile de nature, elle était de surcroît clairement tombée amoureuse dès la première rencontre : autant dire qu’elle ne se refusait, ni ne me refusait rien. Une fois la caméra du mari en place, quelques instants à peine après mon arrivée nous étions déjà nus et en train de nous lécher et nous sucer de partout.
    
    Il y avait un bon équilibre dans la manière de procéder avec elle : je ne goûte pas spécialement, comme je l’ai dit, le fait d’être "dirigiste", et parfois je suis frustré de ne pas oser demander à ma partenaire telle ou telle chose. Je rêve, comme beaucoup d’hommes sûrement, d’une femme avec des envies cochonnes et qui les demanderait, ce qui éviterait de tourner autour du pot ! Avec Sarah, j’avais ...
    ... l’impression de pouvoir tout lui demander très simplement, sans me sentir gêné ni trop insistant. Nous faisions des 69 très introspectifs, elle me suçant et s’occupant de mon anus sans chichis, moi lui dilatant largement les orifices, ouvrant son vagin largement, enfonçant doigts, langue et godemichés dans son petit trou... Au cours de cette première soirée, j’ai dû jouir trois ou quatre fois (j’étais encore dans la fleur de l’âge, dans la trentaine), et elle je n’aurais pas pu compter, elle jouissait de façon assez silencieuse, et je mettrai un peu de temps à en détecter les signes, sur son visage, sur sa manière de bouger. Mais j’ai pu constater par la suite, lors de parties à trois, quatre ou davantage, en l’observant, qu’elle jouissait vite et souvent, tant que son clitoris était sollicité, ne serait-ce qu’un peu au frottement d’une bite pénétrant son vagin. Lors d’une pénétration anale, elle devait en revanche se branler, ou alors qu’une langue tierce vienne lui brouter la chatte.
    
    A cette époque, nous ne faisions pas encore de choses vraiment très cochonnes - la sodomie étant le sommet lors de ces premières rencontres - j’ai toutefois le souvenir ému de son anus restant bien dilaté après une enculade spécialement longue, sans même qu’elle ait besoin de s’écarter les fesses. Elle était sur les genoux, les épaules contre la couette, j’avais rempli son orifice de sperme, et elle était là, sans bouger, le cul restant ouvert comme une pièce de deux euros (à l’époque, c’étaient des ...
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