1. Jérémy en vacances en Corse (3)


    Datte: 02/08/2020, Catégories: Gay Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory

    ... câliner avec une cravache, un fouet, des trucs qui lancent des décharges électriques tout cela pour le faire brailler et le faire gesticuler dans tous les sens. J’ai prié pour que cela ne m’arrive pas. Raté ! Rien d’étonnant. Je ne suis pas spécialement bien vu la-haut !
    
    Je ne sais pas si c’est la gonzesse ou quelqu’un d’autre, toujours est-il que je prends sur le cul un furieux coup de cravache.
    
    Autant de douleur que de surprise, je pousse un cri de sauvage chaudement applaudit. Les salauds !
    
    — Jérémy, tu dois dire merci distinctement à chaque fois que tu reçois ce pourquoi tu es venu. Me dit la femme.
    
    Et puis quoi encore !
    
    Un deuxième me fait gueuler aussi fort mais là, ce n’est plus de surprise !
    
    — Jérémy ...?
    
    J’ai dit merci, comme si cela allait arrêter cette salope !
    
    Un troisième me fouette la bite. Parole ! J’ai cru m’évanouir !
    
    Ils sont plusieurs et les coups tombent de partout, visant, comme un fait exprès, les parties les plus sensibles !
    
    Et moi, gros malin qui est là de mon plein gré, je dis merci à chaque fois, comme un crétin !
    
    Je ne me vois pas et c’est mieux comme ça mais je dois faire des sauts de cabri à chaque fois que la cravache ou le fouet entre en contact avec mes fesses, les couilles, la plante de mes pieds, mes seins enfin, partout, quoi !
    
    J’ai mal à la gorge de beugler (j’ai dépasser le stade des cris). Je pleure aussi et ça me fait enrager de chialer devant ces enfoirées.
    
    Et d’un coup, plus rien ! Je râle ...
    ... plus que je respire. Je constate aussi que je tremble. C’est nerveux mais je ne peux rien faire pour que cela s’arrête !
    
    Je sens qu’on s’affaire tout près de moi.
    
    Soudain je bascule dans le vide, tête en bas, après avoir été soulevé par ce qui doit être un treuil électrique. Mes poignets sont rapidement attachés dans mon dos.
    
    Plus de coup mais des mains, plein de mains qui me triturent, me branlent, me pénètrent. D’autres me chatouilles et je repars dans des contorsions censées me dérober à ces tortures insupportables.
    
    Le portique après lequel je suis suspendu gémit autant que moi je hurle.
    
    Un mec vient de me fourrer sa bite dans la bouche. Il me tient la tête et me force à l’avaler en entier.
    
    Je tousse, je crache. Il se barre mais un autre prend sa place.
    
    Ça dure je ne sais pas combien de temps avant que je sois descendu puis attaché sur le dos, les jambes relevées.
    
    Ah ! Je voulais me faire enculer ! Eh bien, je vais être servi !
    
    Que ce soit par des mecs ou par des nanas affublées d’un gode ceinture, mon petit trou devient très certainement aussi vaste d’un hangar pour Airbus et fréquenté autant que la gare Saint Lazare à 18h00 ! Je suis bien tranquille qu’ils et qu’elles sont tous venus à un moment ou à un autre pour m’enfiler. Je ne sais pas combien ils sont mais ils sont nombreux, très nombreux !
    
    Le pire dans tout cela c’est qu’il est arrivé le moment où j’ai commencé à éprouver un certain plaisir ! Je n’y croyais plus ! Et cela n’a fait ...