1. Prisonnière


    Datte: 01/08/2020, Catégories: fh, couleurs, nympho, grossexe, humilié(e), contrainte, intermast, Oral pénétratio, attache, conte, aventure, fantastiqu, merveilleu, sorcelleri, merveille, Auteur: Morodar, Source: Revebebe

    ... attachées ainsi, elle ne pouvait se satisfaire seule.
    
    Elle avait donc fini pas s’étendre sur le lit, moite de sueur, le corps frémissant et sa chatte coulant sans arrêt. Elle fut mortifiée de se surprendre à souhaiter le retour du sorcier. Ou de n’importe qui d’autre qui aurait pu la soulager.
    
    Puis soudain elle pensa à Telnar.
    
    Le demi-elfe était un des rares hommes de son entourage qui n’avait jamais tenté de la séduire. Il semblait la voir comme étant intouchable en raison de son sang noble. Mais elle le trouvait simplement craquant.
    
    Elle l’avait même espionné un jour, alors qu’il se lavait dans un ruisseau. Elle se rappelait avec délice de sa musculature, son ventre plat et sa peau bronzée par le soleil. Puis aussi de son sexe, long et épais. Il s’était même masturbé sur le rivage, à quelques pas du fourré où elle s’était dissimulée. La vision de sa verge gonflée, qu’il stimulait vigoureusement, lui revint en mémoire. Et les caresses qu’elle s’était faite au travers de sa lourde tunique tout en le regardant se faire jouir…
    
    Elle n’avait pas osé se montrer, craignant qu’il réagisse mal à l’idée d’avoir été espionné. Elle regrettait sa stupide timidité, maintenant. En fait, elle aurait aimé qu’il soit là, pour pouvoir enfin lui apporter l’orgasme libérateur.
    
    Par-delà le lourd battant, Telnar pouvait entrevoir un vaste salon richement décoré. Le plafond voûté était bas et recouvert de superbes peintures représentant les constellations. Les murs étaient cachés ...
    ... par les imposantes bibliothèques qui croulaient sous le poids de milliers de livres de sorcelleries et de centaines de rouleaux de parchemins jaunis. Sur le mur faisant face au rôdeur se trouvaient deux portes. Une très simple en bois avec un loquet, l’autre ressemblant à celle d’une cellule. Dans le mur à la droite du demi-elfe s’ouvrait un imposant foyer, où un feu bleuté brûlait avec force. Un impressionnant fauteuil à haut dossier rembourré de coussins de velours se trouvait juste devant l’âtre. Un grand humain y était assis.
    
    L’homme avait une longue chevelure noire, retenue par un mince bandeau d’argent. Son visage était d’une beauté si parfaite que cela parut immédiatement suspect aux yeux de Telnar. Vêtu d’une longue robe grise, Araxar lisait un lourd volume à la couverture brune et écaillée. Il sembla au téméraire Telnar qu’il était totalement absorbé par sa lecture.
    
    Profitant du fait que sa future victime était aussi peu attentive à son environnement, Telnar se glissa avec lenteur et précautions dans le salon surchauffé. À pas de loup, il se dirigea vers le fauteuil, tirant sa dague de son fourreau, dans sa botte droite.
    
    Alors qu’il ne se trouvait plus qu’à quelques pas du sorcier, celui-ci leva subitement la tête, les narines reniflantes. Puis il se tourna brusquement vers le rôdeur. Son regard, chargé d’un haine brûlante, se planta dans le sien.
    
    — Tu es bien silencieux, sang-mêlé. Mais tu sens la sueur et la tension à trente pas.
    
    Le mage noir se leva ...
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