Prisonnière - Histoires de Sexe

Prisonnière

... punie.

Lentement, il lui fit boire le vin frais. Elle le savoura avec reconnaissance, bien que son goût soit étrangement épicé.

Apparemment amusé, Araxar reposa la coupe quand elle eut bu jusqu’à la dernière goutte. Puis un sourire particulièrement vicieux se dessina sur ses lèvres.

— Dis-moi, petite elfette, connais-tu une racine appelée la langue d’aphrodine ?

Confuse, la jeune elfe se demanda pourquoi il lui posait une telle question. Puis elle écarquilla les yeux de terreur, son regard se braquant sur la coupe vide. L’étrange saveur de la boisson…

— Non, dit-elle, apeurée, vous n’avez pas osé…
— Oh si, ma belle putain ! ricana avec folie le mage noir. L’effet devrait se faire sentir dans un instant.

Soudain, Karina sentit un intense désir, lubrique et infini, se répandre dans ses veines. Jamais elle n’avait eu une libido à ce point puissante. Tout son corps voulait ressentir la puissance d’une jouissance, la moindre fibre de son être réclamait du sexe.

— Oh, vous êtes un monstre, gémit-elle, sa fente devenant déjà humide. Pourquoi ?
— Pour le plaisir de te voir bouillir d’envie d’être prise, tout simplement, rétorqua Araxar. L’aphrodine reste dans l’organisme pendant une journée entière, sauf si celui qui en ingurgite a un orgasme. C’est la seule manière de dissiper la toxine.

L’elfe ne se contrôlait plus. Des images obscènes se glissaient dans ses pensées et elle tremblait d’envie. Son sexe était brûlant et moite, envoyant des vagues de désir ...

... dans tout son corps. Elle ne pensait plus qu’à une chose : jouir.

— Alors, ma petite chienne, qu’est-ce que tu es prête à faire pour que cela s’arrête ?
— T…tout ! hurla-t-elle, affreusement honteuse mais incapable de se retenir. Je ne peux pas le supporter. Je vous en supplie, je… vais faire tout ce que vous voulez, mais faites-moi jouir, maître !

Le mage noir s’approcha d’elle et saisit un sein pâle dans sa main, le pressant et le malaxant rudement. La douleur et le plaisir de ses brusques caresses enflamma encore plus le sang de la rouquine. Elle lâcha un timide gémissement de supplication.

— Hmmm, tu sembles en effet prête. Te prendre serrait sans doute fort agréable.

Il se mit à lui pincer ses mamelons dressés, jouant avec d’une manière qui rendait folle de désir la belle elfe. Malgré sa haine pour ce mage humain, elle était prête à tout pour se libérer de l’effet de la terrible drogue.

— Caressez-moi plus bas, demanda subitement la prisonnière. Pitié, je vais éclater.

La main du sorcier descendit le long de son ventre, s’approchant lascivement de sa fente juteuse. Mais il s’arrêta soudain. Il se redressa et se détourna d’elle, se dirigeant vers la porte.

— Attendez ! implora la jeune elfe. Je suis encore chaude, pitié, faites-moi jouir, ne me laissez pas ainsi !
— Je vais revenir dans deux sabliers, répondit le cruel sorcier. Mais avant, je vais te laisser être rongée par tes envies. Allez, sois patiente. Ce sera encore meilleur.

Puis il quitta ...