1. Je réalise un de mes fantasmes avec ma cousine Dorothée (7)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Romainro, Source: Hds

    ... sillon sans oublier ses lèvres intimes qui dégoulinent de plaisir. Avec mes mains je palpe ses cuisses et ses fesses. Pendant que ma langue explore son intimité anale, je titille à deux doigts son clito qui a bien gonflé depuis mon cuni. Mais si elle gémit bien, je sens qu’elle se retient pour ne pas attirer l’attention de nos voisins sur nous.
    
    Après une bonne dizaine de minutes de cet anulingus endiablé elle me tape sur l’épaule. Je continue de la caresser et lève mon regard vers elle. Malgré l’obscurité qui nous entoure, je sens ses yeux libidineux me supplier de la prendre. Je dépose encore quelques baisers sur ses deux trous et me relève.
    
    J’attrape ma cousine par la taille pour la faire encore un peu reculer et qu’elle soit dans une position plus accessible car avec ses talons, elle est plus grande que moi. Sans que je n’ai rien besoin de lui dire, le compas de ses jambes s’écarte encore plus. J’empoigne ma queue que je fais passer de sa moule à au dessus de son petit trou, comme tout à l’heure avec ma langue.
    
    Mon gland s’arrête sur ses lèvres intimes et je commence à m’enfoncer tout doucement en elle. Plus je la pénètre plus sa respiration se fait profonde. Une fois que ma tige est complètement en elle, je reste planté un moment avant de faire quelques allers retours très lents. Je me retire de son sexe alors que le mien dégouline de sa mouille et je retourne caresser son sillon fessier. Mon gland s’attarde sur son petit trou et commence à forcer le ...
    ... passage.
    
    Nous nous emboitons à merveille, lentement et tendrement jusqu’a ce que mes couilles viennent taper contre le bas de ses fesses. Je commence à aller et venir délicatement en elle, ce qui la fait gémir de plus en plus fort à croire qu’elle a oublié totalement la possible présence de nos voisins.
    
    Je sens ses entrailles, chaudes, s’ouvrirent lentement à chacun de mes vas et viens. Maintenant que je suis bien calé en elle, mes mains quittent sa taille pour entourer son bas ventre et titiller son mont de Vénus. A chaque fois que je bute au fond de sa grotte serrée, ma cousine pousse un petit cri rauque qui me donne envie d’accélérer le rythme.
    
    J’appuie une main sur le haut de ses fesses pour la cambrer encore plus, puis je m’agrippe à sa hanche alors que l’autre continue de lui titiller le petit bouton. J’accélère progressivement la cadence. Mon ventre et mes couilles tapent plus fermement le haut et le bas de ses fesses. J’ai l’impression qu’à chaque rentrée je m’enfonce encore plus profondément en elle mais ce n’est pas pour nous déplaire.
    
    Ma main droite descend vers son sexe, je la passe entre ses grandes lèvres dégoulinantes de plaisir et j’enfonce lentement 2 doigts dans sa grotte inondée. Je les replie pour venir caresser ma bitte à travers la fine membrane qui les sépare. J’adore cette sensation de posséder ses deux trous et de faire doublement du bien à ma queue. Mais je ne suis pas le seul car je sens déjà son sphincter palpiter autour de ma tige qui continue de ...
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