1. Marie et le sculpteur aveugle (6)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory

    ... valable. Je lâche la canne et m’agrippe aux cheveux du prof. Je ne me lève presque plus, je me frotte juste toute seule sans raison sur sa nuque trempée ! Je pousse de petits cris...
    
    Pour soulager mon effort et contribuer à mon plaisir grandissant, Manuel continue d’accompagner mes ascensions et descentes en empoignant mes deux globes fessiers à pleines mains et pousse dessus pour accentuer la pression de mon con sur la tête de Lucien !
    
    Ma chatte est en feu ! J’ai trop envie que lui ou Robert m’enfonce un ou deux doigts dans la chatte tellement elle brule de désir.
    
    Mais je ne peux quand même pas m’abaisser à leur demander ouvertement ! J’ai beau tendre ma croupe ouverte bien en arrière, ils n’osent pas...
    
    J’appuie tellement fort sur la tête du Prof que je l’oblige à la baisser. Je suis en train de la baiser littéralement comme une folle furieuse pour me finir.
    
    Je ne peux plus m’arrêter !! Je suis dans un état second.
    
    Les deux hommes restent interdits mais font tout pour m’aider. Robert tient Lucien qui chancelle sous mon poids et mes gesticulations sont tellement désordonnées que Manuel a du mal à me guider. Je m’agrippe si fort à ses cheveux que je dois lui faire mal tant je tire dessus mais il ne bronche pas. Je m’astique le fion comme une dératée et halète comme une chienne en chaleur. Dans mes va-et-vient de folie, ma grosse vulve gluante et trempée s’écrase, ses lèvres se déforment en glissant sur la nuque épaisse du sculpteur comme un gros mollusque ...
    ... visqueux.
    
    Mon bouton s’affole. Une véritable vague déferlante m’envahit soudain.
    
    Je hurle et commence à jouir. Mon corps se désarticule comme un pantin et mes mains s’échappent. Je vais tomber ! Manuel a du mal à me retenir pour ne pas chuter de même que Lucien, qui sous mes mouvements désordonnés perd l’équilibre et manque de tomber à son tour. Il s’appuie sur l’olivier. A son tour, Robert se précipite pour me retenir.
    
    Je jouis longuement, prise de multiples spasmes et, la bouche ouverte et les yeux mi-clos, je me laisse choir, épuisée dans les bras de Manuel et Robert qui m’accompagnent doucement jusque sur le gazon comme une feuille morte.
    
    Lucien qui se tient les reins et se frotte la nuque dit « Moi qui voulait pas que tu mouilles ma chemise...Bon, ben je crois qu’on a assez d’olives pour ce soir »
    
    « Quel...quel spectacle ! » conclut Manuel qui n’en croit pas ses yeux.
    
    « Pas mieux ! » ajoute Robert tout aussi retourné. « Je croyais avoir tout vu… »
    
    Je ne me sens même plus humiliée de mettre donnée en spectacle devant ce nouvel inconnu. Lucien m’a décomplexée sans doute. Je souris et profite de ma béatitude, allongée nue sur le sol sous leurs yeux admiratifs alors qu’ils retirent doucement leurs mains de dessous mon corps inerte.
    
    Robert fait une photo.
    
    « Qu’est-ce que vous faites ? » je m’inquiète.
    
    « Oh excuse-moi, je voulais immortaliser cet instant d’extase…mais je me suis permis d’en prendre depuis cinq minutes. Ça m’inspirait. Je verrai plus ...