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Marie et le sculpteur aveugle (6)
Datte: 31/07/2020, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... chatte ouverte juste sous ses yeux. Tous ces yeux rivés sur ma chatte ainsi exposée déclenchent une soudaine excitation qui commence à m’envahir. Ses mains agrippent mes cuisses mais glissent rapidement sur mes fesses. En extension maximale, j’arrive enfin à atteindre une branche sur laquelle de jolies olives vertes se détache à force de les secouer. Elles se balancent comme mes seins ! J’imagine le spectacle de loin ! Je fatigue et me rassois sur ses épaules. Ce faisant, mon clitoris se frotte méchamment sur le cuir chevelu de Lucien pour finir de s’écraser sur sa nuque. Je sens comme une décharge électrique me transpercer ! Je me relève aussitôt pour partir à la cueillette de nouvelles olives en me tenant presque debout sur ses avant-bras pliés et avec l’aide des mains de Manuel qui me tiennent fermement mes cuisses ou plutôt mes fesses qu’elles englobent maintenant sans vergogne. « Tu vas y arriver Marie » fait Manuel d’un ton désarmant de sincérité. « Je confirme » ajoute Robert d’un ton sarcastique. A force de me lever et de me rassoir sans arrêt, la friction de ma chatte sur sa tête me procure des effets insoupçonnés et je sens mes jus m’inonder littéralement. « Mais t’es toujours trempée ? » lâche soudain Lucien qui doit sentir la cyprine de ma chatte lui mouiller les cheveux ! « Je... je transpire je pense » je réponds d’une voix mal assurée qui trahit mon état d’excitation. Les olives tombent une par une au prix d’un effort physique ...
... intense et d’un orgasme qui pointe sans dire son nom. Je me dis que ça n’est pas possible et que je vais évidemment me contrôler. « Vas-y, continue, c’est bien comme ça » m’encouragent-ils chacun leur tour, Manuel jouissant du spectacle de tous ses sens : la vision de ma chatte écartelée qui commence à mouiller, et du toucher de ses mains engluées dans mes fesses. Il en profite pour les écarter au maximum et offrir carrément la vue de mon petit trou à ses yeux exacerbés et ceux de Robert qui se lève d’un bond pour s’approcher et mieux voir mon cul dilaté. Je transpire, oui, mais je halète fortement tout en continuant de me lever et m’assoir et limer, limer encore plus fort mon gros bouton tout dur qui se tord de plaisir à chaque passage. Manuel et Robert, se délectent de mes efforts résultants en mon cul grand ouvert qui monte et descend sous leur nez en s’humidifiant de plus en plus au point de tremper la nuque de Lucien. « Impressionnant, hein ? » fait Robert à Manuel à voix basse mais que j’entends quand même et qui chauffent mes joues écarlates. Je sens l’orgasme poindre et les forces m’abandonner. Je m’astique exprès en toute indécence sur la nuque et ma chatte se déforme à chaque aller-retour. Je n’ai plus la force de frapper les branches mais en trouve encore pour me frotter ! Je me fais honte. J’ai pratiquement atteint le point de non-retour et mon corps cri son plaisir au point que je ne peux plus m’arrêter de me frotter encore et encore sans raison ...