1. Avant le mariage


    Datte: 31/07/2020, Catégories: fhh, jeunes, cocus, copains, fête, amour, jalousie, cérébral, Oral init, Auteur: Zeff0, Source: Revebebe

    ... procurait une intense excitation. Au bout de plusieurs heures, il me fut impossible de résister. Je me masturbai et pendant que je me branlais en cachette sous la couverture, Anne, elle, donnait son corps à Vincent. Très vite, j’éjaculai. Jamais un orgasme ne m’avait donné autant de plaisir. Alors, seulement je pus dormir.
    
    Je me levai tôt, ce matin là, parmi les premiers. Pour pouvoir disposer facilement de la salle de bains et pour déjeuner en petit comité. Seuls trois invités se montrèrent aussi matinaux. Puis je sortis me balader dans le parc en profitant de ce petit matin ensoleillé et brumeux. De retour de ma promenade, vers les dix heures, j’aperçus Anne devant le grand escalier en pierre. Elle me regardait approcher et semblait m’attendre. Je l’ai rejointe.
    
    Elle n’eut qu’un mot :
    
    — Pierre !
    
    Son regard semblait implorer, attendre une réponse. Alors je la pris dans mes bras et l’embrassai ; sa langue rallumait un brasier en moi. Doucement je suis descendu le long de son corps, en baisant son cou, ses seins, son ventre puis à genoux, la tête entre ses cuisses, je baisai l’endroit où elle avait péché tandis que sa main caressait mes cheveux. Alors elle se pencha vers moi pour me relever et dans un souffle, elle murmura :
    
    — Viens !
    
    Main dans sa main, je la suivis dans l’escalier, jusqu’à la chambre. Le lit était à moitié défait et les draps étaient tachés ; il y avait eu du sang. Elle suivit mon regard et comprit ce qui se passait dans ma tête. Elle se ...
    ... coucha sur le dos et m’attira vers elle. Alors d’instinct, je fis ce que tout homme amoureux et cocu fait à la femme de sa vie. Je défis mon pantalon et agenouillé au pied du lit, je relevai sa robe et j’enfouis ma tête entre ses cuisses ; l’odeur de son sexe et sa culotte trempée agirent comme un coup de fouet sur mon désir. J’enlevai sa culotte et me précipitai dans ce paradis ruisselant, fouillant furieusement de ma langue les plis de son sexe, léchant son clitoris à la recherche de son foutre et du sperme de son amant. Elle criait et semblait perdre son souffle et soudain, ce fut comme un choc, violent et des spasmes qui m’envoyèrent en pleine figure un mélange de son jus d’amour et de sperme. Vincent l’avait pénétrée, déflorée, souillée et cette pensée me fit jouir à mon tour ; le sperme jaillit dans mon slip.
    
    Tout se mêlait dans ma tête ; c’était un mélange de bonheur, de honte et d’orgueil. Pour la première fois, en quelques minutes à peine, je venais de donner un orgasme à ma chérie, tout en acceptant d’être son amoureux sans être son amant.
    
    Nous redescendîmes ensemble, toujours main dans la main. Dans le hall du rez-de-chaussée, quatre de nos amis étaient là, discutant et buvant. En nous voyant, ils se mirent à crier et à applaudir. Sarah était là. Elle sembla ravie.
    
    La fin du week-end approchait. Il était prévu que nous prenions le train vers 15 h pour rentrer à Paris. Des petits groupes s’étaient formés pour le pique-nique de midi. Le nôtre était composé ...