Vacances en camping-car (15)
Datte: 30/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: burton195, Source: Xstory
... salope ?
— Oui, je... j’adooooore ! hurle Marion.
Content d’entendre ça, je continue de lui marteler sa petite rondelle, tout en lui assénant de temps en temps une fessée, ce qui n’a que pour effet de la faire brailler davantage.
Quant à moi, même si je prends mon pied en m’occupant du cul de ma sœur, moi qui suis ordinairement plus endurant que ça, je sens la sauce monter de plus en plus et, à mon avis, il me reste peu de temps avant d’envoyer la purée. J’essaye tout de même de faire durer l’instant en pensant à autre chose pendant que je défonce ma sœur, mais en vain, aussi, je décide de la prévenir.
— Je vais bientôt venir, annonçais-je entre deux coups de reins.
— D’a... ccord...
— Tu en veux plein la gueule ou dans la bouche ?
— Ni l’un... ni l’autre. Dans... dans mon... cul !
En entendant cette demande une nouvelle fois inédite, je lui réponds par un sourire puis, après quelques secondes, je me retire de son petit trou, et Marion l’ouvre davantage en écartant ses fesses avec ses mains.
Aussitôt, je me mets à m’astiquer le manche devant sa rondelle bien élargie par le passage de mon sexe puis, rapidement, dans un râle de plaisir, d’épais jets blancs et visqueux disparaissent à l’intérieur de son antre chaud, tandis que quelques gouttes s’écrasent sur ses fesses.
— Putain, tu m’as bien remplie, fit Marion.
— Désolé...
— Pas grave, c’est pas désagréable !
Elle se redresse aussitôt et en voyant une goutte ...
... blanche pointer au bout de mon gland, elle se met à genoux pour me le nettoyer à grands coups de langue.
— En tout cas, c’était extra, déclare-t-elle avant de se relever.
— T’as pas eu trop mal ?
— Oh que non, je suis habituée maintenant, ça y est !
— Tant mieux...
— Bon, je vais aller me nettoyer.
Elle alla s’enfermer dans la salle de bain pendant que moi, après avoir remis mon boxer, je rangeais et nettoyais la table.
Quand elle revient quelques minutes après, elle ne porte qu’une serviette nouée autour de sa taille et, lorsqu’elle passe à côté de moi avant d’aller s’asseoir, elle me dépose un baiser sur le coin des lèvres.
— Je t’aime, me susurra-t-elle.
— Moi aussi, ma chérie.
Elle me répond par un sourire irrésistible qui, comme d’habitude, fait chavirer mon petit cœur. Nous dînons ensuite d’une grosse salade de pâtes que j’avais préparée le matin, de fromages et de fruits, tout en discutant de tout et de rien autour d’un nouveau verre de whisky, et en me bouffant des yeux, conscients que la soirée était loin d’être terminée. C’est pour ça qu’il était important qu’on mange, pour reprendre des forces afin de pouvoir reprendre ensuite nos galipettes sur des charbons ardents.
De plus, étant assis face à Marion, cette dernière passa une grande partie du repas à me flatter l’entrejambe en me caressant le sexe du bout de son pied nu, ce qui m’excita davantage. La petite coquine, elle ne payait rien pour attendre !