Vacances en camping-car (15)
Datte: 30/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: burton195, Source: Xstory
Lorsque nous retrouvons le camping-car, nous retournons sur le grand parking aux abords de la forêt afin de pouvoir y passer la nuit. Nous nous garons au fond du parking, près d’un sentier forestier et, dès que le moteur est éteint, nous installons les protections pour la nuit sur le pare-brise ainsi que sur les fenêtres à l’avant, puis allons nous installer à l’arrière.
Nous passons les cinq minutes suivantes assis côte à côte, et à nous embrasser langoureusement, comme deux amants qui se retrouvaient après des mois de séparation, tout en laissant nos mains baladeuses se promener sur nos corps bouillants. Pour le moment, il n’est question que de tendresse, et je dois dire que ça fait du bien aussi. Nous continuons donc ainsi pendant encore quelques minutes, tout en faisant quelques pauses pour papoter tranquillement puis Marion eut une idée.
— Et si on allait faire un tour dans la forêt ? proposa-t-elle.
— Maintenant ?
— Oui, à moins que tu préfères y aller de nuit ?
— Non, c’est vrai...
— Alors, allons-y !
Nous sortons aussitôt du camping-car puis nous nous dirigeons vers le sentier, une nouvelle fois main dans la main et au fur et à mesure que nous nous enfonçons dans cette forêt, nous ne rencontrons absolument personne, comme si nous étions seuls au monde. Nous marchons ainsi pendant une bonne vingtaine de minutes, profitant du calme et de cette jolie végétation puis, au moment où nous décidons de faire demi-tour pour retourner au camion, Marion ...
... s’arrêta.
— Tu sais ce que j’ai envie de faire ? me demanda-t-elle.
— Non ?
— Ça...
Elle se débarrassa aussitôt de la veste noire qu’elle portait, ainsi que de son chemiser et de son soutien-gorge, se retrouvant ainsi la poitrine à l’air en plein milieu de ce chemin forestier.
— Qu’est-ce que tu fais ? demandais-je, en regardant ses beaux seins que j’aimais tant.
— Ça me démangeait...
— Tu vas vraiment te balader les nichons à l’air ?
— Oui, et alors ? On est entre nous, non ? Il n’y a personne à l’horizon...
Même si je sais qu’elle a raison, je ne peux m’empêcher de regarder rapidement autour de nous, et je constatai une fois de plus que nous étions bien seuls.
— C’est vrai, finis-je par répondre.
— Voilà, en plus tu sais quoi ?
— Non ?
— Ça m’excite !
Elle rigola puis nous reprenons la marche, toujours main dans la main, et je ne peux m’empêcher de regarder ses beaux seins qui ballottent doucement au rythme de nos pas, ce qu’elle me fit remarquer au bout de quelques minutes.
— Pour quelqu’un qui s’apprêtait à me faire la morale, t’as l’air quand même content de les voir, mes nichons !
— J’aurais du mal à m’en lasser, tu sais...
Elle me répondit par un petit sourire puis, soudain, un détail me revint en mémoire.
— Au fait, dis-je, comme t’as balancé ton string tout à l’heure, t’as pas remis de culotte quand on est rentrés, je me trompe ?
— C’est vrai, oui...
— T’as donc la chatte à l’air sous ta jupe ?
En guise de ...