Marie - Ange & Démon (7)
Datte: 28/07/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... fréquenté, presque vierge, en tout cas vierge pour une vraie bitte d’homme, me séduit.
Je le laboure à grand coup de reins. Nos chairs se heurtent. Nos bourses se caressent. Je suis le piston qui résonne de bitte à cul, transmettant jusqu’à Georges ma puissance et ma virilité.
— Putain mec je te sens aussi. Continue.
Quel plus beau compliment que cette remarque de Georges ! Georges, à l’autre extrémité de cette union charnelle !
Je me redresse maintenant; fier du spectacle que les caméras enregistrent et que nous reverrons avec délice. Tout est dans le coup de reins. Les pieds en appuis, les mains agrippées aux hanches de cette femelle en rose, je la baise. Les élastiques du porte-jarretelle claquent lorsque je les tends puis les relâchent.
Marc, allongé sur son Ex, maintenu par moi dans cette position humiliante, a tourné son visage vers moi. Il me regarde de biais et je peux voir ses lèvres pincées et mordues pour ne pas se trahir. Et que dire de ce regard vers son enculeur. Ce regard qui me transmet tout ce que sa gorge n’a pas le droit d’exprimer.
— Il a le cul serré d’une pucelle.
Dis-je alors que ma main s’abat sur ses fesses et qu’il sursaute. Oui, dans ces yeux, je vois tout, je devine tout. La honte de se livrer ainsi aux caprices d’un homme. La surprise de chaque claque qui martèle son humiliation.
Mais pas que ! Aussi les yeux qui se ferment alors que ma queue force ses reins !
— Encule le fort qu’on le sente bien.
M’invite ...
... Georges.
— Oui, oui. Moi aussi, je veux le sentir. Il doit être mignon avec son accoutrement. C’est quelle couleur ?
Demande la perverse qui doit savourer l’humiliation de son Ex.
— Rose.
Dis-je. Comme ses fesses maintenant.
— Oh en fiotte alors ? T’aimes ça mec de te faire labourer ainsi ?.
— Il ne peut pas te répondre, mais moi oui : t’aimes ça mec ? Hein que tu aimes ?
Les paupières qui se ferment sont un aveu.
— Oui il aime.
Je traduis.
— Alors, bouge ton cul.
Une vraie femelle qui bouge sa croupe afin que le dard s’enfonce encore plus.
— Je le sens, il bouge. Oh quelle fiotte ! Il me rappelle mon Ex lorsqu’on s’amusait à le déguiser avec mes dessous.
— Mais ce n’est pas lui.
Par ces mots, je rassure Marc qui pourrait s’inquiéter. Mais s’il a eu un moment d’inquiétude, ses sens ont vite repris le dessus.
Au bout de quelques secondes, nous avons pris un bon rythme. La femelle joue de son cul. Je le laboure et chaque fois que je pousse d’un han de bûcheron, sa bitte force le cul de Marie.
— Oh. Continuez, c’est trop bon… Dis la putain.
— Oui, Fred continue, moi aussi j’ai l’impression que sa bitte me branle.
De longues minutes, nous formons un quatuor à quatre corps, mais à trois voix. Marc ne peut se joindre à notre symphonie. Une partition a trois ou grondements, mots à moitié mangés, cris, encouragements sont une musique céleste. Mais je vois sur son visage, même de biais la continuité de son plaisir. Il s’est légèrement appuyé ...