Marie - Ange & Démon (7)
Datte: 28/07/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... du cul, boulevard largement ouvert au fil des semaines.
Marc hésite. Il a sous les yeux une partie de ses fantasmes. La pierre brille. Éclat vert, qui hurle qu’il faut passer "au vert".
— Alors ! Tu m’encules ! Dépêche-toi, je suis chaude bouillante.
L’aiguillon est suffisant. Marc avance sa main. De deux doigts, il se saisit du disque. Il tire, mais le plug résiste comme s’il ne voulait pas quitter le confort douillet du boyau.
Enfin, l’homme réussit à l’extirper. La pièce est belle, encore brillante, l’hygiène de la pute étant parfaite, car s’étant infligée un lavement, cérémonie à laquelle Georges et moi avons participé.
Le trou reste ouvert. Sombre comme le chemin qui mène à l’enfer, royaume de Satan et de ses cohortes. La queue hésite à peine. Elle se glisse doucement, comme un coin pour que la porte ne se referme pas.
— Oui… Continue…
Demande l’enculée.
Marc pousse alors d’un seul coup. Il a ce qu’il voulait. Même, dans cet accoutrement qu’il a oublié, il est un mâle qui possède.
— Oh putain je te sens bien. Tu le sens, Georges ?
Elle n’attend pas de réponse, et :
— Bourre-moi. Ta bitte est petite, mais avec Georges elle va bien…
Toujours cette pointe de provocation et de vouloir humilier.
Marc ne se le fait pas dire deux fois. Il bourre ce cul refusé à lui alors que Marie le donnait à un autre en cachette. Marie est collée à Georges alors que la femelle en tenue rose, les tétons se balançant toujours au fil des mouvements, ...
... s’enfonce encore et encore.
Mais cette femelle doit aussi connaître le mâle. Le vrai, celui dont la bitte bien dure, bien chaude, se dresse d’envie.
Je me colle à Marc lui faisant sentir mon désir. Il ne peut pas ignorer mon gland que je promène dans sa raie et qui s’appuie encore plus lorsqu’il vient en arrière pour bouger dans Marie.
— Je vais te prendre par le cul. Ton premier mec. Ta première bitte bien chaude…
Marc se tourne vers moi. Il voit mon sourire. Il voit et il sent ma détermination. C’est à mon tour de le faire coucher sur celle qu’il possède. Ma salive rejoint celle de Marie. Mon gland frotte là où le gland noir s’est frotté. Je pousse sans m’arrêter. Le sphincter est mon complice, il se laisse apprivoiser. J’entre. Je glisse. J’avance. Je force.
Marc est tourné vers moi. Il ouvre sa bouche. Il va parler. Il va crier, supplier peut-être. Trop tard, ton cul est à moi. Je place ma main sur ses lèvres. Elle ressent son souffle, son grognement, ce soupir plus fort alors que d’un coup de reins j’enfile les derniers centimètres pour l’enculer bien profond.
— Oh, Fred, c’est divin.
Décidément, la bigote refait surface dans des moments inattendus.
— C’est comme si tu me pénétrais. La bite de Jean est plus grosse, plus longue et me brûle. Oh… Encore… Plus fort… Défonce-lui le cul… Son petit cul de lopette…
Pas besoin de me faire prier (décidément !). Pas besoin de me forcer ! Oh que non ! Ce petit cul encore étroit dans sa jeunesse, à peine ...