Le peintre et sa muse (5)
Datte: 28/07/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lerelieur, Source: Xstory
... mature qui vient lui prendre son travail et qui en plus a le malheur d’être belle et épanouie).
— Merci Lydia, ça ira très bien comme ça ! À lundi prochain et soit à l’heure s’il te plaît.
Lydia quitte l’atelier non sans jeter un coup d’œil sur Annie.
Non, elle n’a pas rêvé, la fente d’Annie est en train de baver.
Un long filament translucide, qui brille sous une raie de lumière, est en train de gagner le plancher de l’atelier, cette mature est à deux doigts de jouir, Lydia jubile, Annie ne tiendra pas très longtemps la pose.
Lydia a quitté l’atelier, et Annie n’a toujours pas bougé, mais sa respiration s’est accélérée, son ventre tremble non pas de froid mais par des spasmes annonciateurs du plaisir de s’exhiber ainsi devant son amant.
François vêtu de son grand tablier de peintre maculé de couleurs diverses se saisit de son appareil photo, et commence à mitrailler Annie.
Entière, buste, fente qui dégouline maintenant.
François est bien à l’étroit dans son pantalon.
Et puis il demande à Annie de mettre son deuxième pied sur la petite table à côté d’elle, et là, jambes écartées, la fente d’Annie bâille entièrement, dévoilant les petites lèvres, le trou sombre de son vagin qui brille sous la lumière et la rosette de son anus qui palpite comme s’il faisait des clins d’œil.
Encore quelques photos, et François ne peut plus tenir, il prend Annie par la main et l’entraîne vers l’escalier qui mène à son appartement au-dessus de l’atelier.
Annie ...
... passe devant, et François a les yeux rivés sur les belles fesses rondes qui dandinent devant lui et aussitôt il pose ses mains sur ces deux rotondités, il bande comme ce n’est pas possible son sexe est de plus en plus à l’étroit dans son pantalon bien qu’il n’ait pas mis de sous vêtement.
Au cours de la montée il retire sa blouse de peintre et ouvre sa braguette afin de libérer le diable qui palpite.
Arrivé en haut de l’escalier François retire son pantalon qui le gêne et se colle aux fesses d’Annie, glissant son sexe turgescent entre les deux globes bien fermes qui tentent d’emprisonner le mandrin tant désiré.
Mais François ne songe qu’à une chose, augmenter son emprise et sa domination sur cette plantureuse femelle.
Il finira bien par lui faire faire ce qu’il veut.
ainsi il guide Annie vers la chambre décorée de nus parmi lesquels elle découvre le corps de Lydia, au demeurant joliment peint, aucun des nus n’est érotique, tous sont esthétiques.
Contrairement à celui que désire certainement Bernard !
Mais pas le temps de s’attarder, Annie se jette sur le grand lit rond, les cuisses grandes ouvertes.
— Viens me baiser je n’en peux plus d’attendre !
François retire sa chemise, Annie admire une nouvelle fois ce corps viril poilu comme elle aime et elle lui crie :
— Qu’est-ce que tu attends, viens me fourrer ton gros sexe !
François se met à genoux entre les cuisses d’Annie et il se masturbe juste au-dessus du sexe d’Annie.
— Baise moi, baise moi, ...