Post-formation
Datte: 27/07/2020,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
jalousie,
Masturbation
Oral
pénétratio,
amourpass,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... après, une longue traînée luisante descend petit à petit vers son ventre. Fasciné, je regarde celle-ci aller son chemin. Devant le spectacle, ma femme a un petit sourire étrange, je ne cherche plus à comprendre, je prends :
— Masse-toi les seins ! Et mets-en bien partout !
— Oui !
Sans hésiter, elle pose ses doigts sur le sperme qui la macule et commence à se masser voluptueusement la poitrine qui luit petit à petit sous l’effet de mon sperme ainsi étalé. Je regarde la scène avec attention, son petit sourire étrange s’accentue. Les doigts gluants, elle officie nonchalamment son massage sensuel, ses yeux rivés aux miens, ses seins sont à présent deux monts brillants, accrochant indécemment la lumière des spots. Je regarde, envoûté, ses mains souillées se promener sur son buste luisant.
Puis, sans mot dire, toujours son sourire étrange, elle pose ses doigts sur ses lèvres roses, je retiens ma respiration, elle sort une langue gourmande qu’elle promène d’abord sur son majeur, cueillant au passage tout le sperme qui l’enrobait. Puis c’est au tour de son index de subir la même caresse, langoureusement, infernalement.
Les lèvres souillées, elle repose sa main ainsi nettoyée et entreprend de se masser à nouveau indécemment les seins, les palpant bien, soutenant leur base, les épousant au mieux. Ma femme est une adorable dévergondée qui m’offre un spectacle étonnant et sensuel, une autre facette d’elle. Puis c’est au tour de son autre main d’aller vers son visage, mais ...
... cette fois-ci, ses doigts s’introduisent directement dans sa bouche, ses doigts qu’elle suce avec application, dans d’incongrus bruits d’aspiration gourmande et de respiration saccadée.
Devant une telle scène dépravée, ma virilité redresse fièrement la tête. Je peux lire sur le visage de ma femme un certain orgueil. Résolument, je m’approche d’elle, lui mettant mon sexe sous le nez. Sans hésiter, elle ôte ses doigts de sa bouche puis enfourne ma bite dressée en elle. À peine m’a-t-elle prodigué quelques lècheries suaves que je déflagre, inondant son palais, ses dents, sa gorge. L’esprit ailleurs, je songe que, décidément, ma femme est un parfait vide-couilles, expression que je n’aurai jamais osé penser, il y a peu de temps ! Un ou une ? Penser et ne pas dire ?
Je penche ma tête vers elle, ma queue molle entre ses lèvres, elle me regarde, les yeux luisants.
— Tu sais que tu es une vide-couilles d’enfer, ma petite cochonne !
— Onh, onh ! fait-elle, la bouche pleine.
J’attends un peu que je me refasse une beauté, puis je décide de m’occuper d’elle sérieusement, mes doigts sur son pubis que je caresse délicatement. L’instant d’après, ces mêmes doigts s’engloutissent en elle, aidés par une cyprine abondante, allant et venant sans relâche, bien décidés à faire jouir cette petite dévergondée et l’épuiser ! De temps à autre, je sors mes doigts de son vagin pour l’obliger à les sucer, lui en mettant plein les lèvres, le bout du nez, les joues. Obliger ? Un bien grand mot ...