1. Post-formation


    Datte: 27/07/2020, Catégories: fh, couple, extracon, fsoumise, hdomine, vengeance, jalousie, Masturbation Oral pénétratio, amourpass, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ne rien laisser derrière moi, sauf ruine et désolation.
    
    Elle gémit tandis que je la pistonne sans relâche. J’ai envie de m’enfoncer plus loin encore en elle, de l’ouvrir en deux, de la ravager. Elle se cabre, accompagnant chacun de mes défoncements, comme pour mieux m’absorber en elle. Déchaîné, je tire plus encore sur ses cheveux, elle crie. Je veux la transformer en une poupée disloquée, la piller, la détruire même, sans pitié ni remords.
    
    J’attrape son sein qui balance sous les coups de piston dont je défonce son vagin, je le serre bien pour en éprouver toute la masse, la fine peau, son doux volume. Tirer dessus, le lui arracher pour le jeter aux quatre coins de la pièce, des idées étranges et sadiques voltigent dans mon esprit. Cette garce a définitivement ruiné ma bonne éducation !
    
    Sous ma triple torture, piston, sein broyé et écrasement, elle glapit, se débat, je tiens ferme, puis soudain, elle s’immobilise, bloquée, tétanisée. Ça dure environ trois à quatre secondes, je commence à me demander quoi. Un hululement strident interrompt mon appréhension. Je reste figé, interdit. Son corps grelote de partout, on dirait même qu’elle fait une crise d’épilepsie. Prestement, inquiet, je me remets en appui sur les coudes pour la libérer de mon poids, ma barre de chair toujours fichée en elle.
    
    Sa jouissance explose, mille petits cris remplissent l’espace, ses mains me cherchent, me trouvent, me broient, ses ongles entrent dans ma chair, implacables, irrésistibles et ...
    ... meurtriers !
    
    Je ne l’ai jamais vu jouir ainsi ! C’est étonnant, la puissance qu’elle dégage alors, j’en reste interdit. Je me redresse sur les genoux, attendant qu’elle s’apaise. De longues minutes s’écoulent, tandis que je la regarde se calmer graduellement.
    
    Peu après, elle ouvre les yeux, un pâle sourire aux lèvres. Je m’agenouille à côté d’elle pour lui caresser la joue. Elle ne dit rien, se contentant de me regarder. J’aime cette femme, même si je pense parfois d’elle que c’est une pute de première pour m’avoir trompé ainsi.
    
    Elle récupère petit à petit. Elle ouvre la bouche :
    
    — Tu pourras te vanter de m’en avoir fait voir de toutes les couleurs !
    — Merci du compliment ! Tu sais que je peux en dire de même en ce qui te concerne ?
    — Ah bon ? Et lequel de nous deux est le pire dans la palette des couleurs ?
    — Je ne sais pas, mais je vais voir ce que je peux faire de plus pour augmenter la saturation ou le contraste…
    — Oh-oh, tu as quoi dans l’idée, toi ?
    
    Puis elle fait le geste de se redresser. J’interviens :
    
    — Ne bouge pas ! Reste là !
    
    Je me mets debout puis je commence à me branler, posément, elle reste immobile face à moi, se doutant bien de la suite. Elle n’attend pas bien longtemps !
    
    Mon jet gicle et vient s’aplatir entre ses seins. D’autres viennent s’écraser ailleurs, dont un en plein sur son téton, l’enrobant tout à fait. Je cligne des yeux, épuisé, haletant. Le temps s’écoule comme mon sperme qui glisse de ses seins vers sa vallée. Peu ...