1. Contes algériens


    Datte: 13/04/2018, Catégories: Anal Sexe Interracial Hardcore, Auteur: PrinceVibescu, Source: xHamster

    ... dessus de ses vêtements. Il bandait de plus en plus, alors que sa main s'aventurait dans le bas du dos de la jeune fille qui avait quatre ans de plus que lui, et que ses doigts commençait à sentir l'humidité de la culotte de la jeune fille. A ce moment là, alors que son pouce commençait à rentrer par derrière dans la chatte de Clarisse, Nissim, qui fermait alors les yeux en s'abandonnant à ses sensations, reçut une gifle de la gouvernante. "Interdiction de toucher à son con" cria-t-elle dans l'oreille de Nissim, qu'elle traina jusqu'au lit avant de l'attacher aux montants du lits. Celle qui l'avait élevé força alors le jeune homme à lécher son puits, puant la transpiration et l'urine. Mais de l'autre côté, Clarisse faisait bander à nouveau le jeune homme, lui léchant les couilles et lui suçant la bite. Très rapidement, il déchargea son foutre dans la main de la jeune fille qui le força à tout avaler. C'était là sa première expérience.
    
    Mais après trois années passées à Alger, il en connaissait tous les salons, tous les chefs d'oeuvres, des pièces maîtresses aux esquisses des futurs grands maîtres. Il lui fallait changer de musée, car il était las d'honorer toujours les mêmes seins, d'embrasser toujours les mêmes lèvres, d'enculer toujours les mêmes éphèbes. Il était cinq heures quand Nissim arrivait, perdu dans ses pensées, chez son compagnon d'armes et supérieur Alfred, colonel du second régiment de Spahis. Ayant confié sa monture à un oranien qui faisait officie de ...
    ... valet, il montait dans les appartement du colonel.
    
    En poussant les lourdes portes du salon, il sentit monter en lui les plus belles sensations que peut procurer cette partie du monde : un parfum qui mêlait touches d'encens et agrumes confis flottait dans l'air, comme si les effluves les plus suaves de la Méditerranée s'étaient ici rassemblée. Cette senteur sucrée, entremêlant cannelle, santal et opopanax, transportait le voyageur fatigué jusqu'e dans les îles grecques de l'Empire ottoman : une place calme, réchauffée par les vents brûlants de l'Egée, au milieu de laquelle se dresserait une Eglise, qui, portes grandes ouvertes, laisserait échapper un souffle sacré. Au fond du salon, allongé parmi les coussins et les édredons se trouvait Alfred, qui n'avait gardé de son uniforme que sa large cape camel et son képi bleu azur. Pour le reste, il était complètement nu, et une jeune arabe lui léchait le gland. Elle était accroupie, de dos, et son nerveux laissait au visiteur la liberté d'admirer un con serré dont l'étroitesse excita Nissim. Sous la cape de l'officier, une belle noire l'embrassait langoureusement. Alfred, de sa main droite, caressait la chatte de sa maîtresse dont la couleur rose contrastait avec sa peau, ébène ; seules deux améthystes finement taillées dans cette Afrique la plus noire, qui pointaient au bout de ses seins, rappelaient cette fraîcheur. Le colonel ne tarda pas à amener la chatte gluante de celle-ci à sa bouche pour la sucer. L'oranienne, prénommée Fitna, ...
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