1. Contes algériens


    Datte: 13/04/2018, Catégories: Anal Sexe Interracial Hardcore, Auteur: PrinceVibescu, Source: xHamster

    Il fallut cinq jours à Nissim de Montefrio pour joindre Oran. L'Oranie était alors le plus beau des territoires coloniaux français, où l'alliaient douceur de vivre et liberté des moeurs : éloigné de la capitale, cette région semblait vivre à un autre rythme. Du moins c'est ce que pensait Nissim, chevauchant sur les pistes de sable des contreforts de l'Atlas qui lui paraissaient interminables. Il se souvenait alors de cette idée qu'il avait maintes fois discuté avec le préfet d'Alger, qui était d'ailleurs son amant : on pouvait de toute évidence expliquer le caractère particulièrement oisif des indigènes par l'accablante chaleur qui les étourdissait. Cela avait cependant pour effet de les pousser à chercher la fraîcheur dans des harems, accompagnés de nombreuses concubines, ce qui ne pouvait qu'être mis à leur crédit.
    
    Le lieutenant colonel Nissim de Montefrio se trouvait à Alger depuis maintenant trois ans. Affecté au premier régiment des Spahis Algériens, il s'était toujours attaché à faire de ses cavaliers des hommes doués des plus charmantes qualités. Il était en outre le fils d'un riche négociant parisien, ancien Ferik ottoman exilé dans la ville lumière. Déjà son père figurait parmi les plus grands libertains de l'Empereur Louis-Napoléon. Cependat, Nissim ne se souvenait que peu de son père, duquel il n'avait conservé qu'une vieille photographie et le chaud souvenir de son parfum, qui était à son image : mêlant résine de benjoin et une légère note d'oud, son père ...
    ... incarnait la plénitude de l'Orient.
    
    Même si durant ses classes et ses premières passes d'armes Nissim avait foutu de nombreux culs et cons des provinces françaises et de ses colonies, il regrettait sa jeunesse à Paris, ces quelques années où, jeune homme, il espionnait sa gouvernante et ses maîtresse : elles étaient alors pour lui l'incarnation de la beauté féminine. Fardées, parées et habillées comme des putains de haut-luxe, toute leur essence concentrait la douceur et la luxure de la nature humaine. Dans sa chambre, mitoyenne à celle de sa mère, Nissim avait alors l'habitude d'espionner leurs ébats. Pendant les deux années avant son départ, sa gouvernante s'était entichée d'une jeune filles qu'elle partageait avec son mari et son portier. Il les espionnait souvent, et, une fois, alors que sa mère était seule avec la jeune fille, Clarisse, il fut surpris par cette dernière en train de se branler. Sa gouvernante, qui avait alors quarante ans, le forçat à les rejoindre. Clarisse avait 21 ans, et ses cheveux courts ne dépassaient tombaient à peine sur ses épaules. Alors que Nissim n'osait pas approcher, elle enlevât sa robe, dévoilant un porte-jaretelle en soie, et une culotte fendue qui cachait son pubis mais dévoilait son trou du cul et sa chatte. Sa toison rousse, entourait tout le con, et remontait jusqu'autour de l'anus, ce qui fit bander le jeune homme, de plus en plus mal à l'aise. Clarisse s'approchât de lui et commença à l'embrasser, tout en caressant son pénis au ...
«1234...»