1. Un fantasme de trop


    Datte: 13/04/2018, Catégories: fhh, cocus, alliance, Oral pénétratio, fsodo, couple+h, cocucont, Auteur: Le jeune homme vert, Source: Revebebe

    ... pu contempler à son tour les deux gros fruits qui pendaient devant lui. En fait, Sarah se comportait de façon tout à fait habituelle. C’est simplement moi qui, devant la détresse de mon beau-frère, redécouvrait mon propre bonheur.
    
    Toute la semaine, elle s’est habillée simplement pour aller travailler mais je trouvais à nouveau que ses petites jupes et ses chemisiers la rendaient fort désirable. C’est seulement moi qui, avec le temps, ne lui prêtais plus l’attention que ses efforts méritaient. Et Paul, qui reprenait un peu du poil de la bête, ne se lassait plus de regarder tous les soirs les cuisses pleines et dénudées de Sarah. Tous les soirs, je lui ai fait l’amour et elle ne m’a jamais dit non.
    
    Le vendredi soir, nous avons pris notre temps pour dîner sur la terrasse et profiter de la douceur de l’été qui s’achevait. Après un repas simple mais délicieux et bien arrosé, je leur proposai de mettre un DVD pour finir la soirée. Bien qu’il soit déjà 23 heures, tous deux acquiescèrent et, après avoir glissé la galette dans le lecteur, je me rassis rapidement à côté de Sarah tant je craignais sa réaction. Le film commençait très doucement mais il ne fallut quand même pas longtemps à mon épouse pour comprendre que j’avais mis un film érotique.
    
    J’avais posé ma main dans la sienne et je la sentis se crisper quand la première fille commença à se déshabiller à l’écran. Nous regardions quelques fois ce genre de film et, malgré le caractère particulièrement limité des scénarios, ...
    ... les images suffisaient à donner un petit coup de fouet à notre libido. Sarah n’était donc pas opposée par principe à ces films, mais la présence de Paul sur sa droite la réfrigérait un peu.
    
    Je pris tout mon temps, laissant les images agir sur son cerveau, pour qu’elle se détende progressivement. Et quand sa main fut enfin totalement relâchée, je l’abandonnais pour glisser la mienne sur sa cuisse. Le regard qu’elle me jeta disait clairement d’arrêter. Mais je restais à nouveau immobile quelques minutes pour qu’elle se détende à nouveau.
    
    J’avais choisi avec beaucoup d’attention le film, très soft pour ne pas l’agacer, mais suffisamment suggestif pour que son imagination fonctionne. Et surtout avec un beau mec, car bien souvent mon épouse était déçue par les acteurs de ces films fait par des hommes pour d’autres hommes. Et la magie fonctionna, car elle se détendit à nouveau, lentement.
    
    Je ne me précipitai pas mais entamai très doucement l’esquisse d’une caresse sur sa cuisse. J’avançai doucement, très attentif à ne pas aller trop loin en la brusquant et, progressivement, ma main glissa vers l’intérieur de sa jambe. Les images et ma caresse semblaient faire de l’effet à Sarah et j’en profitai, très prudemment, pour passer sous sa jupe. Puis, comme elle se laissait enfin faire, encore plus lentement, sous le voile fin de son string qui masquait à peine son sexe bien épilé.
    
    Sa chatte était trempée et elle ne protesta même pas quand mon doigt la pénétra. Je n’en revenais ...
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