1. Un fantasme de trop


    Datte: 13/04/2018, Catégories: fhh, cocus, alliance, Oral pénétratio, fsodo, couple+h, cocucont, Auteur: Le jeune homme vert, Source: Revebebe

    ... refusait catégoriquement de le sucer ou de se faire enculer, il n’ignora bientôt plus rien des cris que poussait Sarah pendant le plaisir, de ses talents de suceuse et de sa croupe accueillante quand je la sodomisais.
    
    La conversation était de plus en plus chaude et j’avoue que la réaction dans mon pantalon trahissait mon excitation. C’était vraiment la première fois que nous avions une conversation de ce genre, et Paul commençait à douter de mes propos tant le contraste entre la froideur apparente de mon épouse et l’abandon de son comportement au lit lui paraissait incroyable. Il me demanda comment Sarah, qui lui avait toujours paru si distante, même avec lui, pouvait être aussi libérée dans un lit quand Laure, plus jeune et plus démonstrative, était en fait un vrai glaçon. L’excitation avait dû troubler mon jugement.
    
    Je me dis que le moment était venu de réaliser un fantasme que je nourrissais depuis longtemps et que je n’avais jamais osé proposer à Sarah : la partager avec un autre. Cela me semblait un excellent moyen pour prouver à Paul que je ne mentais pas et pour lui montrer que mon épouse adorait faire l’amour et n’avait aucun tabou. Je lui dis qu’il pourrait peut-être en juger par lui-même. Il me restait cependant à trouver comment parvenir à mes fins. Cela se passa pourtant de la façon la plus simple qui soit.
    
    Nous avons passé un premier week-end tranquille. Paul avait évidemment le moral à zéro et nous avons à tour de rôle essayé de lui donner des pensées ...
    ... moins moroses. Je notais cependant qu’il regardait désormais Sarah différemment, comme s’il la découvrait soudain avec des yeux nouveaux. Apparemment, mes propos n’étaient pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Son regard s’attardait plus longuement sur la poitrine opulente, traînait sur les fesses rebondies. La chaleur de cette fin septembre était encore très lourde dans le Périgord et Sarah portait des tenues légères qui dévoilaient ses formes généreuses.
    
    Quand nous nous sommes retrouvés dans l’intimité de notre chambre, la première nuit, nous avons surtout parlé de ce divorce annoncé et qui nous désolait tous deux. Mais la seconde nuit, je lui ai demandé si elle avait constaté comme moi les regards intéressés de son beau-frère. Elle m’avoua que oui mais je ne pus lui faire dire ce qu’elle avait ressenti. Quand ma main glissa sur son sexe, je le découvris trempé et je me suis enfoncé en elle brutalement. Je l’ai chevauché longuement, la faisant jouir à plusieurs reprises avant de me répandre en elle. J’avais ma réponse. Et Paul avait pu entendre les cris de son plaisir qu’elle n’avait même pas cherché à masquer.
    
    Le dimanche matin, elle a pris son petit déjeuner comme d’habitude, dans une nuisette de soie qui épousait parfaitement ses gros seins lourds et ses fesses rebondies. Et quand elle s’est penchée pour me servir le café, j’ai constaté qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, comme les autres dimanches matins. J’ai cru que Paul allait renverser sa tasse quand il a ...
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