1. Un mur de lumière


    Datte: 25/07/2020, Catégories: fh, couplus, vacances, plage, préservati, pénétratio, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... est évidente. Jean sent bien que je me laisse aller et devenir une partenaire consentante. Il est tendre, délicat. Ses baisers sont d’abord des attouchements et ses mains ne font qu’effleurer mon corps. Je me sens étrangement bien, revivant mes flirts de jeunesse. Lentement il devient plus audacieux et entreprenant. Mes seins, mes hanches et mes fesses reçoivent un hommage qui ne me laisse pas indifférent.
    
    Il tourne autour de moi. Son corps se presse contre le mien. Son sexe, bâton dur, vient se frotter à mes fesses. Ses baisers dans le cou et à la base de mes oreilles me rendent réceptive. Je sens qu’il tire sur la fermeture éclair de ma robe qu’il descend jusqu’aux reins. Je sens ses mains contourner mes hanches, remonter sur mes flans et venir envelopper mes seins. Je frissonne. Si je continue et me laisse faire, je ne pourrai plus résister. Un sursaut me fait avancer pour m’éloigner, mais il me maintient contre lui.
    
    — Écoute, me dit-il dans le creux de l’oreille.
    
    Écouter ? Écouter quoi ? Le bruit des vagues ? La musique ? Non pas la musique, elle s’est arrêtée.
    
    Mais j’entends quelque chose. D’abord je ne comprends pas, mais ensuite chaque bruit a une signification et peut être relié à un acte. C’est le bruit de l’amour. D’une femme qui pousse des soupirs. Des soupirs rythmés. Rythmés par les assauts de son amant. Son amant qui la possède avec force, force qui fait retentir le claquement des chairs à chaque poussée. Aucun doute ! David possède Marie. Mon ...
    ... mari en honore une autre. Il le fait avec la vaillance et la résistance que je lui connais. D’habitude c’est moi qui gémis sous ses assauts. C’est moi que sa queue longue et forte envahit et baise jusqu’à la garde.
    
    Ce bruit est un nouveau déclic. Jusqu’à maintenant je pensais que nous jouions à flirter. Je me sentais coupable de sentir un trouble avec mon cavalier. Je me sentais coupable de me laisser entraîner sur des chemins qui sortent du simple flirt. Je n’en veux même pas à David ! Marie est si belle, si sensuelle !
    
    Oh ! Je frissonne. Jean relève ma robe et ses mains caressent mes fesses, se glissant entre culotte et peau. Je ronronne, telle une chatte lorsque sa paume se plaque sur mon minou. Je me tortille comme une salope voulant montrer à son amant ce qu’elle désire.
    
    Ma culotte est sur mes chevilles, la robe remontée jusqu’à la taille. Plus rien ne me protège.
    
    Je décide de participer. Je me tourne face à Jean. C’est moi maintenant qui glisse mes mains sous sa chemise, caressant son torse musclé. Mais je ne m’attarde pas. La ceinture de son pantalon ne me résiste pas. Je vais ouvrir sa braguette.
    
    — Non. Attend.
    
    Il me laisse. Je le vois entrer dans le cercle de lumière, ramasser une couverture et revenir pour l’étaler à mes pieds.
    
    Il est de nouveau face à moi. Le pantalon et le slip tombent. J’ai son sexe dans ma main. Je le palpe, le caresse, délicate branlette exploratoire. Je ne peux m’empêcher de comparer à David. La peau peut être tirée jusqu’à ...