Mémoires d'un amnésique
Datte: 13/04/2018,
Catégories:
fh,
grossexe,
bizarre,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
photofilm,
Masturbation
Oral
Humour
policier,
Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe
... devant l’assurance affichée par la fougueuse femme, puis je me remis au travail sur mon encyclopédie en attendant le retour de Karen ; elle reviendrait sûrement, dépitée, pour me raconter une histoire saugrenue à propos de ce Rackman qui, se prenant pour un ancien Président, aurait hurlé qu’il allait faire la guerre à l’Irak et se serait jeté sur un sympathique épicier musulman pour essayer de l’assommer avec une pomme de terre avant que la police n’intervienne et ne ramène le brave Floyd dans sa chambre…
Nous étions le lendemain de cette étrange rencontre, et, curieusement, Karen n’avait pas reparu. Essayant de dissimuler la vague inquiétude qui commençait à s’installer dans mes tripes, je contemplais les traînées d’eau que la pluie laissait sur les vitres de mon bureau. Le vent soufflait plus fort que d’habitude…
Enfin la porte derrière moi s’ouvrit, et je tournai immédiatement les talons pour découvrir une Karen dégoulinante de pluie s’échinant à se débarrasser de son imper sans trop s’apercevoir que les flaques d’eau qui se formaient à ses pieds étaient en train de ruiner ma moquette. Et là, je restai abasourdi : derrière la belle aux cheveux ruisselant se trouvait ce grand dadais de Floyd ! Il n’avait visiblement pas fait de bêtises, mais la présence de ce psychopathe en puissance aux côtés de Karen n’était pas faite pour embellir ma sérénité.
— Karen ! Que fait-il encore ici ? Que s’est-il passé ?
— Que voulais-tu qu’il se passe ? Floyd est un brave gars, ...
... il est vraiment amnésique, et il a besoin de nous !
— Désolé de vous déranger avec ça, Monsieur Booth, mais avec Karen, je crois que nous avons bien avancé hier soir.
Allons bon, Karen se mettait à piétiner mes plates-bandes, on aura tout vu. C’était moi le détective, elle n’était que mon assistante, et elle se mettait à « avancer » dans les enquêtes ! Mon ego surdimensionné (sans pour autant manquer d’objectivité) en prenait un coup… Je repris, d’un ton légèrement sarcastique :
— Et en quoi avez-vous avancé tous les deux ?
— Eh bien voilà, regarde, ça se passe de commentaires !
Et devant mon regard éberlué, Karen entreprit de promptement baisser le pantalon de Floyd, exhibant ainsi un énorme engin. Laissez-moi vous dire qu’à cet instant précis, je devais avoir l’air très con, debout au milieu de mon bureau, le regard fixe, comme hypnotisé par la queue sans fin de Floyd qui pendouillait de manière obscène entre ses cuisses.
— Alors Don, t’en dis quoi ?
— Bon sang, belle bête ! Ce saligaud nous avait caché ça !
— Et encore, reprenait Karen, là, il est au repos, attends de le voir dressé fièrement droit devant lui ! Je l’ai mesuré à largement plus de 30 cm hier soir avec mon mètre de couture !
Pendant que Karen continuait à palabrer sur la queue du gaillard, je m’imaginais mon assistante plongée dans un travail de tricot et je n’arrivais pas du tout à faire le lien avec le marteau-piqueur de Floyd. La seule chose qui me venait à l’esprit était qu’elle lui ...