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Cavalcades
Datte: 25/07/2020, Catégories: fh, sport, campagne, Humour Auteur: Mia Enon, Source: Revebebe
... bosse dure des plus suggestives. Mais je ne suis pas encore soumise, pas plus que ma petite jument. Elle a réussi à se dégager et tourne sur place pour éviter de se présenter de dos. De mon côté j’écarte les bras qui me ceinturent et retrouve une liberté très provisoire. Je fais face à un Hector congestionné qui se contente de m’attraper par un bras pour m’empêcher de m’écarter. Ce n’est pas la première fois que je vois des chevaux s’accoupler mais jamais je ne m’étais identifiée à eux de la sorte. Et je sais qu’Hector éprouve la même chose. Côte à côte nous assistons à la capitulation d’Assia. L’étalon la fait pivoter en la poussant de l’épaule et de la tête, se campe derrière elle et d’un coup se dresse sur ses pattes de derrière. Son sexe gigantesque, d’où sort un long tube pourpre, vient buter sous la queue de la jument. Il abat son poids sur elle pour l’immobiliser, tâtonne pour trouver une voie humide qu’il pénètre par saccades. Je suis si troublée que je ne résiste pas quand dans le même temps Hector me renverse dans l’herbe après un rapide baiser de pure forme. Il me plante à quatre pattes devant lui, dégrafe et baisse mon pantalon. À trente mètres devant moi je vois l’arrière-train du grand sire se contracter spasmodiquement à chacune de ses poussées. Assia est arc-boutée sur ses pattes pour supporter le poids qui la couvre et hennit doucement. Je sens dans le même temps une main saisir ma nuque, une autre peser sur mon dos pour me contraindre à me cambrer. ...
... Hector me saille, son sexe rigide disjoint ma fente et m’envahit impérieusement. Il reste un moment délicieux profondément enfoui en moi avant de déclencher la houle de ses reins. Il a alors la malice, ou le talent, d’accorder le rythme de son pilonnage sur celui de l’étalon. Du coup je ne sais plus si je suis amazone ou monture, si ce que je ressens est dû au cheval, à son cavalier ou à quelque centaure. Je fonds de plaisir et mes feulements viennent accompagner ceux de la petite jument grise. J’aperçois comme dans un brouillard les chevaux qui déjà se séparent. Heureusement les hommes y mettent plus de temps, enfin pas tous, mais avec Hector j’ai l’impression d’être tirée par le bon numéro. La tête reposée dans l’herbe sur mes bras repliés, la croupe haut levée, je savoure sa copieuse intrusion. Il est accroché à mes hanches et poursuit un va-et-vient qui selon les moments accélère ou ralentit mais ne paraît pas près de finir. Sa trique torride embrase les délicates parois de mon vagin, déclenchant orgasme sur orgasme. Il finit par se retirer mais c’est pour me retourner sur le dos, lever haut mes jambes et m’embrocher derechef. Dans cette nouvelle position je suis éblouie par le soleil et perçois à contre-jour sa tête et son buste qui oscillent en cadence au-dessus de moi. Je jouis encore une fois mais commence à être rassasiée. Manifestement pas lui : il poursuit sa course encore un bon moment avant de se décider à conclure. J’accueille passivement ce dernier assaut, le ...